« Nous sommes à moins de cinq millions de vaccinés pour atteindre l'immunité collective escomptée », a indiqué le ministre, en réponse à une question à la Chambre des conseillers sur la situation épidémiologique et l'évolution de la campagne nationale de vaccination.
Pour consolider cette évolution positive, a-t-il dit, les autorités publiques ont opté pour le « pass vaccinal » à compter du 21 octobre, en tant que document officiel et exclusif permettant à son détenteur de se déplacer entre les différentes régions et provinces du Royaume, par ses propres moyens ou en transport public, de se rendre à l’étranger, d'accéder aux lieux et espaces publics, et d’abroger toutes les autorisations de déplacement antérieures délivrées par les autorités locales.
« L’équation fondamentale aujourd’hui, dans le contexte de la gravité de la pandémie du Covid-19 et des menaces qu’elle fait planer sur le droit à la vie, consiste à trouver l’équilibre entre l’impératif de protéger la santé publique et de garantir les droits, et essentiellement d’éviter la violation du droit à la santé qui mènerait immanquablement à la violation de tous les autres droits », a-t-il souligné.
« Le Maroc n’est pas à l’abri d’une éventuelle rechute épidémiologique »
Sur les considérations ayant présidé à l’adoption de cette démarche par le gouvernement, il a indiqué que le Maroc n’est pas à l’abri d’une éventuelle rechute épidémiologique, particulièrement dans le sillage de la récente évolution notable et dangereuse de cette pandémie dans de nombreux pays, avec lesquels le Maroc a été contraint de suspendre les vols aériens.
Faisant observer que nombre de pays ne sont pas parvenus à satisfaire leurs besoins en matière de vaccins, le ministre a appelé les citoyens à se rendre aux plateformes de vaccination mises à leur disposition durant toute la semaine et à télécharger leur « pass vaccinal ».
Il a aussi noté que le recours au « pass vaccinal » au cours de cette période de l’année vise à inciter les récalcitrants à se faire vacciner, suite au retard enregistré récemment dans l’affluence vers les vaccinodromes, à se prémunir contre les foyers épidémiologiques qui pourraient surgir subitement, et à mieux se préparer à la saison hivernale qui connaît naturellement une propagation accrue des nouveaux virus.
Elargissement de la campagne de vaccination
M. Aït Taleb a fait état d’une nouvelle stratégie visant à élargir la campagne de vaccination à d’autres catégories, dont les migrants irréguliers, les enfants délaissés âgés de plus de 12 ans, les non-scolarisés, et les personnes à besoins spécifiques non-vaccinées pour des raisons médicales.
Il a souligné que les première et deuxième doses constituent la phase élémentaire pour immuniser les citoyens contre le virus, tandis que la troisième injection de rappel au bout de six mois a été décidée pour préserver un degré élevé de protection, en tant que « dose de l’espoir » qui devra mettre fin aux affres liées à cette redoutable pandémie et permettre un retour à la normale dans les plus brefs délais.
Le ministre a précisé que, selon les données disponibles, quelque 2.228.450 personnes supplémentaires ont bénéficié de la 3ème dose de vaccin, depuis l’entrée en vigueur de la nouvelle mesure gouvernementale.
Pour consolider cette évolution positive, a-t-il dit, les autorités publiques ont opté pour le « pass vaccinal » à compter du 21 octobre, en tant que document officiel et exclusif permettant à son détenteur de se déplacer entre les différentes régions et provinces du Royaume, par ses propres moyens ou en transport public, de se rendre à l’étranger, d'accéder aux lieux et espaces publics, et d’abroger toutes les autorisations de déplacement antérieures délivrées par les autorités locales.
« L’équation fondamentale aujourd’hui, dans le contexte de la gravité de la pandémie du Covid-19 et des menaces qu’elle fait planer sur le droit à la vie, consiste à trouver l’équilibre entre l’impératif de protéger la santé publique et de garantir les droits, et essentiellement d’éviter la violation du droit à la santé qui mènerait immanquablement à la violation de tous les autres droits », a-t-il souligné.
« Le Maroc n’est pas à l’abri d’une éventuelle rechute épidémiologique »
Sur les considérations ayant présidé à l’adoption de cette démarche par le gouvernement, il a indiqué que le Maroc n’est pas à l’abri d’une éventuelle rechute épidémiologique, particulièrement dans le sillage de la récente évolution notable et dangereuse de cette pandémie dans de nombreux pays, avec lesquels le Maroc a été contraint de suspendre les vols aériens.
Faisant observer que nombre de pays ne sont pas parvenus à satisfaire leurs besoins en matière de vaccins, le ministre a appelé les citoyens à se rendre aux plateformes de vaccination mises à leur disposition durant toute la semaine et à télécharger leur « pass vaccinal ».
Il a aussi noté que le recours au « pass vaccinal » au cours de cette période de l’année vise à inciter les récalcitrants à se faire vacciner, suite au retard enregistré récemment dans l’affluence vers les vaccinodromes, à se prémunir contre les foyers épidémiologiques qui pourraient surgir subitement, et à mieux se préparer à la saison hivernale qui connaît naturellement une propagation accrue des nouveaux virus.
Elargissement de la campagne de vaccination
M. Aït Taleb a fait état d’une nouvelle stratégie visant à élargir la campagne de vaccination à d’autres catégories, dont les migrants irréguliers, les enfants délaissés âgés de plus de 12 ans, les non-scolarisés, et les personnes à besoins spécifiques non-vaccinées pour des raisons médicales.
Il a souligné que les première et deuxième doses constituent la phase élémentaire pour immuniser les citoyens contre le virus, tandis que la troisième injection de rappel au bout de six mois a été décidée pour préserver un degré élevé de protection, en tant que « dose de l’espoir » qui devra mettre fin aux affres liées à cette redoutable pandémie et permettre un retour à la normale dans les plus brefs délais.
Le ministre a précisé que, selon les données disponibles, quelque 2.228.450 personnes supplémentaires ont bénéficié de la 3ème dose de vaccin, depuis l’entrée en vigueur de la nouvelle mesure gouvernementale.