Le secteur de l'élevage de poissons connaît une évolution stratégique avec l'annonce du ministère de l'Industrie et du Commerce. Du 1er janvier 2024 au 31 décembre 2026, des quotas annuels de 15.000 tonnes d'aliments pour poissons seront disponibles à l'importation, avec un taux préférentiel de 2,5% de droits de douane, explique la tutelle dans un dans un avis aux professionnels du secteur de l’élevage de poissons.
Les opérateurs souhaitant profiter de ces quotas sont invités à déposer leurs demandes avant la date limite du 12 janvier 2024, à 16h00. Les demandes doivent être adressées à la Direction générale du commerce, située à Hay Riad, Rabat, par voie recommandée ou en personne.
La répartition des quotas sera supervisée par une commission interministérielle composée de représentants de la Direction générale du commerce et de l'Agence nationale pour le développement de l'aquaculture. Les résultats de la répartition seront rendus publics sur le site officiel du ministère de l'Industrie et du Commerce.
Le ministère souligne que la distribution des quotas se basera sur l'historique des importations réalisées, en tenant compte de la concordance entre l'activité de l'opérateur et le produit faisant l'objet de la demande. La commission pourra également utiliser d'autres critères, tels que le plafonnement des quantités allouées et la sanction des importateurs n'ayant pas atteint les quotas qui leur ont été accordés lors de l'année précédente.
Les opérateurs souhaitant profiter de ces quotas sont invités à déposer leurs demandes avant la date limite du 12 janvier 2024, à 16h00. Les demandes doivent être adressées à la Direction générale du commerce, située à Hay Riad, Rabat, par voie recommandée ou en personne.
La répartition des quotas sera supervisée par une commission interministérielle composée de représentants de la Direction générale du commerce et de l'Agence nationale pour le développement de l'aquaculture. Les résultats de la répartition seront rendus publics sur le site officiel du ministère de l'Industrie et du Commerce.
Le ministère souligne que la distribution des quotas se basera sur l'historique des importations réalisées, en tenant compte de la concordance entre l'activité de l'opérateur et le produit faisant l'objet de la demande. La commission pourra également utiliser d'autres critères, tels que le plafonnement des quantités allouées et la sanction des importateurs n'ayant pas atteint les quotas qui leur ont été accordés lors de l'année précédente.