Dans une mise au point suite à l'article intitulé "Ce que Sanchez n'a pas visité au Maroc : Aperçu sur les prisons marocaines", M. Tamek a souligné que "la majorité des déclarations et des témoignages rapportés par le journaliste dans son attaque haineuse contre le Maroc appartiennent soit à des personnes et des organisations connues pour être au service d’agendas hostiles aux intérêts supérieurs du Royaume et à son intégrité territoriale, soit à certaines voix au sein de la population sahraouie locale qui soutiennent ouvertement le +Front Polisario+ et son mentor l’Algérie. Dans leurs témoignages, ces parties ne sauraient alors répondre aux principes d'honnêteté et de sincérité".
M. Tamek, également Cheikh de la tribu Ait Oussa, s’est arrêté sur les contrevérités et les allégations tendancieuses contenues dans l'article, relevant que son auteur, connu pour son hostilité à l’égard du Royaume, à saisi l'occasion de la visite du Président du gouvernement espagnol au Maroc pour s’attaquer à lui en publiant des mensonges flagrants sur une série de questions en rapport avec la situation des prisons au Maroc et les conditions de détention".
Il a souligné, à cet égard, que "cette attaque ratée contre le Maroc s'inscrit, de surcroit, dans le cadre d’un règlement de compte de politique interne espagnole et d'un service, probablement rémunéré, rendu par l’auteur de l’article à des parties politiques en Espagne et à l'Algérie, connues pour leur hostilité vis-à-vis du Royaume, sachant que le grand rapprochement entre les Royaumes du Maroc et d’Espagne ne sert guère les intérêts de ces parties".
Tous les chiffres avancés dans l'article et que le journaliste prétend avoir recueilli du rapport de l’Observatoire marocain des prisons ont été, en fait, publiés par la DGAPR dans son rapport annuel ou dans ses communiqués de presse, ce qui prouve que celle-ci adopte une stratégie de communication fondée sur les principes de transparence et d’interaction constructive.
Abordant la problématique de surpopulation carcérale au Maroc, le Délégué général a rappelé que "la DGAPR a été la première à informer l’opinion publique et les institutions administratives et juridiques du Royaume quant à l’exacerbation de ce phénomène et ses effets dangereux non seulement sur la sécurité des institutions et des détenus, mais aussi sur leur rôle en matière de réforme et de qualification, ainsi que sur les conditions de détention", ajoutant qu'on ne peut attendre d'un article tendancieux d’informer sur une contrainte dont souffre la DGAPR et qu’elle tente inlassablement de surmonter à travers des solutions pratiques durables, selon une approche responsable et en étroite collaboration avec lesdites institutions".
L’auteur de l’article a, de même, omis de préciser que la problématique de surpopulation carcérale et ses effets négatifs sur les conditions de détention ne concerne pas uniquement le Maroc, mais aussi des pays voisins de l’Espagne comme la France et la Belgique, ce qui renseigne sur ses mauvaises intentions de nuire à la réputation du Royaume", a ajouté M. Tamek.
Concernant certains points abordés dans l’article, il a indiqué que le texte évoque des cas de détenus en les qualifiant de "détenus politiques", alors que les prisonniers en question ont été interpellés et jugés dans des affaires de droit commun offrant les conditions d'un procès équitable garanties par la Constitution et la loi.
A cet égard, le Délégué général à l’Administration pénitentiaire et à la réinsertion porte à la connaissance de l’opinion publique que les administrations des établissements pénitentiaires concernés traitent les détenus conformément aux dispositions légales régissant les prisons et à leurs règlements intérieurs, assurant que leur intégrité physique et morale n'a été nullement exposée à un quelconque danger ou préjudice. Au contraire, les détenus jouissent de tous leurs droits légaux sans discrimination aucune, à l’exception de cas particuliers où ces administrations répondent à des besoins spécifiques qu'ils expriment et ce, dans la limite des moyens disponibles.
Dans ce cadre et contrairement à l’allégation prétentieuse contenue dans l’article, les détenus en question n’ont jamais été placés dans des cellules individuelles dans un objectif d'isolement ou de punition, mais plutôt en réponse à des besoins particuliers (poursuite d'études, état de santé ou autres) exprimés par demande manuscrite adressée à l’administration, a-t-il expliqué, notant que les établissements pénitentiaires travaillent dans la limite des moyens mis à leur disposition pour répondre aux demandes de ce genre.
En outre, a-t-il poursuivi, tout le monde sait que ces détenus reçoivent régulièrement les visites de leurs proches, ainsi que celles du Conseil national des Droits de l'Homme et des autorités judiciaires compétentes, à l’instar des autres prisonniers conformément à la loi en vigueur.
Dans le cadre de la stratégie de communication de la Délégation générale, fondée sur les principes de transparence et d’interaction constructive et permanente avec l’opinion publique, les administrations des établissements pénitentiaires prennent l’initiative d’émettre des réactions ou des communiqués dans le souci d’éclairer l’opinion publique sur les allégations colportées à leur sujet, a-t-il ajouté.
S'agissant du groupe "Gdim Izik", dont les membres ont été arrêtés et condamnés pour avoir commis des actes de violence, de meurtre et de mutilation de corps de membres des forces publiques non armés, M. Tamek a expliqué que, contrairement aux témoignages relayés par l'article, les détenus en question, notamment le cas de Lamine Haddi, n'ont guère fait l'objet de traitement inhumain ou dégradant, ni subi de préjudice à leur intégrité physique ou psychique.
Ces derniers, a-t-il assuré, purgent leur peine dans des conditions normales et bénéficient de visites de leurs proches, ainsi que de facilités en termes de durée et de fréquence.
Le Délégué général a d'autre part affirmé que contrairement à l'article précité et aux déclarations mensongères sur lesquelles il s'appuie, la DGAPR n'a pas délibérément veillé à les éloigner des provinces du Sud, mais à les répartir sur les différents établissements conformément à leur système de classification, notamment en fonction de la durée des peines.
En ce qui concerne d'autres prisonniers sahraouis et que l'article qualifie de "militants", leur arrestation n'est guère liée à la liberté d'expression ou à leur conviction politique, mais plutôt aux actes de sabotage et de menaces contre l'ordre public, a-t-il encore précisé.
"Le journaliste n'a pas hésité à s'attaquer à ma personne pour critiquer mes convictions unionistes enracinées ainsi que ma responsabilité à la tête de l'Administration pénitentiaire, en citant des déclarations recueillies auprès d'un membre de ma famille, en l'occurrence le dénommé Ali Salem Tamek", a-t-il dit.
M. Tamek a précisé que Ali Salem Tamek, qui est son neveu et dont le père est son cousin, est une personne déséquilibrée sur le plan psychique, qui a été arrêtée dans les années 90 à la frontière maroco-algérienne alors qu'il se rendait aux camps du +Polisario+.
Après avoir purgé une peine de prison en rapport avec ces faits, il a été instrumentalisé par les séparatistes pour nuire à sa propre famille, ce qui a amené celle-ci à le désavouer et à le considérer comme un traître à la patrie et à la famille", a-t-il poursuivi.
"Son père, le commandant à la retraite Mohamed Salem Tamek, a été blessé trois fois dans les batailles menées contre les séparatistes, tandis que son oncle Zaidane Tamek et son cousin Taib Tamek, ainsi qu'au moins dix membres de la famille et des centaines de membres de la tribu à laquelle il appartient, ont été tués dans la guerre contre les séparatistes", a-t-il ajouté.
Et de poursuivre que Ali Salem Tamek, qui se déplace librement de et vers l'Algérie, s’active dans le seul but de semer la discorde et la division au sein de la famille ainsi que d'espionner les membres de sa tribu qui viennent en visite familiale dans les camps de Tindouf, et d'informer les autorités algériennes que certains d'entre eux sont des espions marocains, comme c'est le cas pour son oncle Youssef Tamek, son cousin Hassan Sidi Bouya ou son cousin Mohammed Ali Bahssi, entre autres.
Le recours exclusif aux calomnies d'un individu, qui a perdu toute crédibilité et qui a l'habitude de nuire à sa famille et à la réputation de sa grande famille et de sa tribu Aït Oussa, démontre clairement le parti-pris du journaliste en faveur de la thèse séparatiste et sa tentative de nuire à l'image du Royaume, a noté le Délégué général à l'Administration pénitentiaire et à la réinsertion.
M. Tamek a tenu à souligner que les tentatives de ce journaliste ont échoué et que le Maroc, sous le leadership de son Souverain, est fort de ses institutions et son peuple, y compris les Sahraouis unionistes, précisant que cet article infondé et les calomnies des séparatistes sur lesquelles il a choisi de s'appuyer ne porteront pas atteinte au Royaume qui progresse sur la voie de l'édification de relations de coopération solides et étroites avec l'Espagne, son pays voisin.
M. Tamek, également Cheikh de la tribu Ait Oussa, s’est arrêté sur les contrevérités et les allégations tendancieuses contenues dans l'article, relevant que son auteur, connu pour son hostilité à l’égard du Royaume, à saisi l'occasion de la visite du Président du gouvernement espagnol au Maroc pour s’attaquer à lui en publiant des mensonges flagrants sur une série de questions en rapport avec la situation des prisons au Maroc et les conditions de détention".
Il a souligné, à cet égard, que "cette attaque ratée contre le Maroc s'inscrit, de surcroit, dans le cadre d’un règlement de compte de politique interne espagnole et d'un service, probablement rémunéré, rendu par l’auteur de l’article à des parties politiques en Espagne et à l'Algérie, connues pour leur hostilité vis-à-vis du Royaume, sachant que le grand rapprochement entre les Royaumes du Maroc et d’Espagne ne sert guère les intérêts de ces parties".
Tous les chiffres avancés dans l'article et que le journaliste prétend avoir recueilli du rapport de l’Observatoire marocain des prisons ont été, en fait, publiés par la DGAPR dans son rapport annuel ou dans ses communiqués de presse, ce qui prouve que celle-ci adopte une stratégie de communication fondée sur les principes de transparence et d’interaction constructive.
Abordant la problématique de surpopulation carcérale au Maroc, le Délégué général a rappelé que "la DGAPR a été la première à informer l’opinion publique et les institutions administratives et juridiques du Royaume quant à l’exacerbation de ce phénomène et ses effets dangereux non seulement sur la sécurité des institutions et des détenus, mais aussi sur leur rôle en matière de réforme et de qualification, ainsi que sur les conditions de détention", ajoutant qu'on ne peut attendre d'un article tendancieux d’informer sur une contrainte dont souffre la DGAPR et qu’elle tente inlassablement de surmonter à travers des solutions pratiques durables, selon une approche responsable et en étroite collaboration avec lesdites institutions".
L’auteur de l’article a, de même, omis de préciser que la problématique de surpopulation carcérale et ses effets négatifs sur les conditions de détention ne concerne pas uniquement le Maroc, mais aussi des pays voisins de l’Espagne comme la France et la Belgique, ce qui renseigne sur ses mauvaises intentions de nuire à la réputation du Royaume", a ajouté M. Tamek.
Concernant certains points abordés dans l’article, il a indiqué que le texte évoque des cas de détenus en les qualifiant de "détenus politiques", alors que les prisonniers en question ont été interpellés et jugés dans des affaires de droit commun offrant les conditions d'un procès équitable garanties par la Constitution et la loi.
A cet égard, le Délégué général à l’Administration pénitentiaire et à la réinsertion porte à la connaissance de l’opinion publique que les administrations des établissements pénitentiaires concernés traitent les détenus conformément aux dispositions légales régissant les prisons et à leurs règlements intérieurs, assurant que leur intégrité physique et morale n'a été nullement exposée à un quelconque danger ou préjudice. Au contraire, les détenus jouissent de tous leurs droits légaux sans discrimination aucune, à l’exception de cas particuliers où ces administrations répondent à des besoins spécifiques qu'ils expriment et ce, dans la limite des moyens disponibles.
Dans ce cadre et contrairement à l’allégation prétentieuse contenue dans l’article, les détenus en question n’ont jamais été placés dans des cellules individuelles dans un objectif d'isolement ou de punition, mais plutôt en réponse à des besoins particuliers (poursuite d'études, état de santé ou autres) exprimés par demande manuscrite adressée à l’administration, a-t-il expliqué, notant que les établissements pénitentiaires travaillent dans la limite des moyens mis à leur disposition pour répondre aux demandes de ce genre.
En outre, a-t-il poursuivi, tout le monde sait que ces détenus reçoivent régulièrement les visites de leurs proches, ainsi que celles du Conseil national des Droits de l'Homme et des autorités judiciaires compétentes, à l’instar des autres prisonniers conformément à la loi en vigueur.
Dans le cadre de la stratégie de communication de la Délégation générale, fondée sur les principes de transparence et d’interaction constructive et permanente avec l’opinion publique, les administrations des établissements pénitentiaires prennent l’initiative d’émettre des réactions ou des communiqués dans le souci d’éclairer l’opinion publique sur les allégations colportées à leur sujet, a-t-il ajouté.
S'agissant du groupe "Gdim Izik", dont les membres ont été arrêtés et condamnés pour avoir commis des actes de violence, de meurtre et de mutilation de corps de membres des forces publiques non armés, M. Tamek a expliqué que, contrairement aux témoignages relayés par l'article, les détenus en question, notamment le cas de Lamine Haddi, n'ont guère fait l'objet de traitement inhumain ou dégradant, ni subi de préjudice à leur intégrité physique ou psychique.
Ces derniers, a-t-il assuré, purgent leur peine dans des conditions normales et bénéficient de visites de leurs proches, ainsi que de facilités en termes de durée et de fréquence.
Le Délégué général a d'autre part affirmé que contrairement à l'article précité et aux déclarations mensongères sur lesquelles il s'appuie, la DGAPR n'a pas délibérément veillé à les éloigner des provinces du Sud, mais à les répartir sur les différents établissements conformément à leur système de classification, notamment en fonction de la durée des peines.
En ce qui concerne d'autres prisonniers sahraouis et que l'article qualifie de "militants", leur arrestation n'est guère liée à la liberté d'expression ou à leur conviction politique, mais plutôt aux actes de sabotage et de menaces contre l'ordre public, a-t-il encore précisé.
"Le journaliste n'a pas hésité à s'attaquer à ma personne pour critiquer mes convictions unionistes enracinées ainsi que ma responsabilité à la tête de l'Administration pénitentiaire, en citant des déclarations recueillies auprès d'un membre de ma famille, en l'occurrence le dénommé Ali Salem Tamek", a-t-il dit.
M. Tamek a précisé que Ali Salem Tamek, qui est son neveu et dont le père est son cousin, est une personne déséquilibrée sur le plan psychique, qui a été arrêtée dans les années 90 à la frontière maroco-algérienne alors qu'il se rendait aux camps du +Polisario+.
Après avoir purgé une peine de prison en rapport avec ces faits, il a été instrumentalisé par les séparatistes pour nuire à sa propre famille, ce qui a amené celle-ci à le désavouer et à le considérer comme un traître à la patrie et à la famille", a-t-il poursuivi.
"Son père, le commandant à la retraite Mohamed Salem Tamek, a été blessé trois fois dans les batailles menées contre les séparatistes, tandis que son oncle Zaidane Tamek et son cousin Taib Tamek, ainsi qu'au moins dix membres de la famille et des centaines de membres de la tribu à laquelle il appartient, ont été tués dans la guerre contre les séparatistes", a-t-il ajouté.
Et de poursuivre que Ali Salem Tamek, qui se déplace librement de et vers l'Algérie, s’active dans le seul but de semer la discorde et la division au sein de la famille ainsi que d'espionner les membres de sa tribu qui viennent en visite familiale dans les camps de Tindouf, et d'informer les autorités algériennes que certains d'entre eux sont des espions marocains, comme c'est le cas pour son oncle Youssef Tamek, son cousin Hassan Sidi Bouya ou son cousin Mohammed Ali Bahssi, entre autres.
Le recours exclusif aux calomnies d'un individu, qui a perdu toute crédibilité et qui a l'habitude de nuire à sa famille et à la réputation de sa grande famille et de sa tribu Aït Oussa, démontre clairement le parti-pris du journaliste en faveur de la thèse séparatiste et sa tentative de nuire à l'image du Royaume, a noté le Délégué général à l'Administration pénitentiaire et à la réinsertion.
M. Tamek a tenu à souligner que les tentatives de ce journaliste ont échoué et que le Maroc, sous le leadership de son Souverain, est fort de ses institutions et son peuple, y compris les Sahraouis unionistes, précisant que cet article infondé et les calomnies des séparatistes sur lesquelles il a choisi de s'appuyer ne porteront pas atteinte au Royaume qui progresse sur la voie de l'édification de relations de coopération solides et étroites avec l'Espagne, son pays voisin.