Talib A, médecin né en Arabie saoudite, qui a été arrêté immédiatement après l'attaque du marché de Noël de Magdebourg, en Allemagne, vendredi soir, au cours de laquelle quatre personnes ont été tuées et une soixantaine d'autres blessées, dont quinze grièvement, s'est révélé être farouchement hostile à l'islam, partisan de l'extrême-droite et du sionisme.
Les informations communiquées samedi par la presse allemande au sujet de l'auteur de l'attentat indiquent que Talib, âgé de 50 ans, vit en Allemagne depuis 2006 et y possède un permis de séjour permanent.
L'individu, qui travaillait comme médecin dans la ville de Bernburg, partageait sur les réseaux sociaux des messages dans lesquels il était "préoccupé par la montée de l'islam en Allemagne".
Le suspect, qui a également publié sur les réseaux sociaux des messages de soutien au parti d'extrême droite "Alternative pour l'Allemagne" (AfD) et à d'autres organisations anti-islamiques d'extrême droite en Europe, a également partagé une carte du soi-disant "Grand Israël", qui comprend en partie le territoire de la Turquie.
Les médias allemands ont pu obtenir des captures d'écran des messages du suspect avant que son compte X ne soit suspendu à la suite de l'attaque. Dans ces images, il porte un fusil sur une photo de couverture et accuse l'Allemagne de «vouloir islamiser l'Europe» et tient "la nation allemande responsable de l'assassinat de Socrate".
Des insultes à l'égard des chrétiens et des musulmans
Dans un message X posté en décembre 2023, l'attaquant accuse l'État allemand de persécuter les réfugiés saoudiens et menace : "Je vous assure que je me vengerai à 100 %. Même si cela me coûte la vie", avant de poursuivre que "l'Allemagne devra payer pour cela".
Dans son message du mois de mai, le suspect a également déclaré s’attendre sérieusement à mourir cette année", ajoutant que les autorités allemandes bloquent toutes les voies pacifiques vers la justice".
Dans un message en arabe publié à la même période, il a également déclaré que "si l'Allemagne veut la guerre, nous la ferons. Si l'Allemagne veut nous tuer, nous la massacrerons, nous mourrons ou nous irons en prison avec fierté. Parce que nous avons épuisé tous les moyens pacifiques, nous avons été confrontés à de nouvelles infractions de la part de la police, du département de la police, du bureau du procureur, de la justice, du ministère de l'Intérieur. La paix ne leur est d'aucune utilité".
Les informations communiquées samedi par la presse allemande au sujet de l'auteur de l'attentat indiquent que Talib, âgé de 50 ans, vit en Allemagne depuis 2006 et y possède un permis de séjour permanent.
L'individu, qui travaillait comme médecin dans la ville de Bernburg, partageait sur les réseaux sociaux des messages dans lesquels il était "préoccupé par la montée de l'islam en Allemagne".
Le suspect, qui a également publié sur les réseaux sociaux des messages de soutien au parti d'extrême droite "Alternative pour l'Allemagne" (AfD) et à d'autres organisations anti-islamiques d'extrême droite en Europe, a également partagé une carte du soi-disant "Grand Israël", qui comprend en partie le territoire de la Turquie.
Les médias allemands ont pu obtenir des captures d'écran des messages du suspect avant que son compte X ne soit suspendu à la suite de l'attaque. Dans ces images, il porte un fusil sur une photo de couverture et accuse l'Allemagne de «vouloir islamiser l'Europe» et tient "la nation allemande responsable de l'assassinat de Socrate".
Des insultes à l'égard des chrétiens et des musulmans
Dans un message X posté en décembre 2023, l'attaquant accuse l'État allemand de persécuter les réfugiés saoudiens et menace : "Je vous assure que je me vengerai à 100 %. Même si cela me coûte la vie", avant de poursuivre que "l'Allemagne devra payer pour cela".
Dans son message du mois de mai, le suspect a également déclaré s’attendre sérieusement à mourir cette année", ajoutant que les autorités allemandes bloquent toutes les voies pacifiques vers la justice".
Dans un message en arabe publié à la même période, il a également déclaré que "si l'Allemagne veut la guerre, nous la ferons. Si l'Allemagne veut nous tuer, nous la massacrerons, nous mourrons ou nous irons en prison avec fierté. Parce que nous avons épuisé tous les moyens pacifiques, nous avons été confrontés à de nouvelles infractions de la part de la police, du département de la police, du bureau du procureur, de la justice, du ministère de l'Intérieur. La paix ne leur est d'aucune utilité".
