Les conséquences des élections législatives ne tardent pas à apparaître. Frappé de plein fouet par un vote de sanction national, le PJD a subi une lourde défaite en se contentant de 13 sièges parlementaires. Ce score dérisoire a poussé tous les membres du Secrétariat général du parti à présenter leur démission, y compris le Chef du gouvernement sortant Saad Dine El Othmani. Ainsi ce dernier a mis fin à ses fonctions de secrétaire général.
Cette annonce a fait l'objet d'un communiqué du PJD, précisant qu'il a été décidé de tenir, mardi 18 septembre, une session extraordinaire du Conseil national afin de faire une évaluation des résultats des élections et d’en tirer les conclusions. La même source a fait savoir que la direction du parti a décidé de tenir le plutôt possible le congrès national.
Rappelons que le parti qui dirige l'actuel gouvernement a vécu un choc lors de l'annonce des résultats des élections législatives. Le parti s'est positionné en huitième position derrière le RNI, PAM, Istiqlal, USFP, MP, PPS, UC, avec 13 sièges, perdant ainsi près de 90% des sièges obtenus en 2016.
Avec ces sièges, le PJD serait dans l'incapacité de former par lui-même un groupe parlementaire au sein de l'hémicycle.
Cette annonce a fait l'objet d'un communiqué du PJD, précisant qu'il a été décidé de tenir, mardi 18 septembre, une session extraordinaire du Conseil national afin de faire une évaluation des résultats des élections et d’en tirer les conclusions. La même source a fait savoir que la direction du parti a décidé de tenir le plutôt possible le congrès national.
Rappelons que le parti qui dirige l'actuel gouvernement a vécu un choc lors de l'annonce des résultats des élections législatives. Le parti s'est positionné en huitième position derrière le RNI, PAM, Istiqlal, USFP, MP, PPS, UC, avec 13 sièges, perdant ainsi près de 90% des sièges obtenus en 2016.
Avec ces sièges, le PJD serait dans l'incapacité de former par lui-même un groupe parlementaire au sein de l'hémicycle.