7,4 milliards d'euros, c'est la nouvelle valorisation en euros de Horse, après l'opération financière menée par Aramco.
La co-entreprise franco-chinoise baptisée « Horse » est désormais valorisée à 7,4 milliards d’euros, ont indiqué les trois partenaires. Renault et Geely conservent chacun 45% des parts de l’entreprise. Ampère, filiale du groupe Renault chargée du développement de l’électrique, n’a de son côté toujours pas fait son entrée en bourse.
Si un logique ralentissement a lieu en Europe quant à la vente de voitures électriques, la date de fin du moteur thermique en a marqué plus d’un. En effet, l’UE a voté que plus aucun moteur à pétrole neuf ne serait vendu à partir du 1er janvier 2035 sur le Vieux Continent.
Les constructeurs, dont certains ont annoncé de bon cœur leur reconversion au tout électrique, commencent à revoir leur copie. C’est le cas de Renault qui, après avoir scindé son activité en deux (développement de l’électrique, d’une part, et du thermique, d’autre part), vient d’accueillir un nouvel investisseur.
L’objectif de cette entrée dans le groupe est aussi de développer l’hybride pour la vente sur d’autres marchés que l’Europe, qui ne sont pas contraints à cette échéance.
En outre, cela n’empêchera pas « Horse » de travailler sur les carburants de synthèse ou l’hydrogène, afin de permettre au moteur thermique de devenir neutre en termes d’émission carbone.
Renault montre ainsi qu’il souhaite répartir les risques, au cas où la date de 2035 ne serait pas tenue, le texte prévoyant une clause de revoyure pour faire un premier bilan en 2026.
Si un logique ralentissement a lieu en Europe quant à la vente de voitures électriques, la date de fin du moteur thermique en a marqué plus d’un. En effet, l’UE a voté que plus aucun moteur à pétrole neuf ne serait vendu à partir du 1er janvier 2035 sur le Vieux Continent.
Les constructeurs, dont certains ont annoncé de bon cœur leur reconversion au tout électrique, commencent à revoir leur copie. C’est le cas de Renault qui, après avoir scindé son activité en deux (développement de l’électrique, d’une part, et du thermique, d’autre part), vient d’accueillir un nouvel investisseur.
L’objectif de cette entrée dans le groupe est aussi de développer l’hybride pour la vente sur d’autres marchés que l’Europe, qui ne sont pas contraints à cette échéance.
En outre, cela n’empêchera pas « Horse » de travailler sur les carburants de synthèse ou l’hydrogène, afin de permettre au moteur thermique de devenir neutre en termes d’émission carbone.
Renault montre ainsi qu’il souhaite répartir les risques, au cas où la date de 2035 ne serait pas tenue, le texte prévoyant une clause de revoyure pour faire un premier bilan en 2026.