Au sein du Parlement français, le groupe parlementaire d'études sur le Sahara n'a plus raison d'être. La députée de l’Isère, Hanane Mansouri, a demandé d'y mettre fin. Dans une lettre, la députée proche d'Éric Ciotti a demandé à la présidente de l'Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, d'engager les démarches nécessaires pour dissoudre ce groupe "caduc".
"Je souhaite attirer votre attention sur la nécessité de réévaluer l'existence du groupe parlementaire consacré au Sahara occidental en tenant compte des orientations diplomatiques récentes de la France", a-t-elle écrit, rappelant que la décision du président Emmanuel Macron est réaliste et constructive visant à soutenir une solution pérenne dans la région.
Selon Mme Mansouri, le maintien d'un tel groupe au cœur de l'Assemblée nationale apparaît en contradiction avec l'actuelle position de la France.
Présidé par Jean-Paul Lecoq, député Gauche Démocrate et Républicaine, ce groupe compte huit députés, dont celui de LFI, Aurélien Taché, qui s'est pourtant montré favorable à la marocanité du Sahara pendant la crise franco-marocaine.
"Je souhaite attirer votre attention sur la nécessité de réévaluer l'existence du groupe parlementaire consacré au Sahara occidental en tenant compte des orientations diplomatiques récentes de la France", a-t-elle écrit, rappelant que la décision du président Emmanuel Macron est réaliste et constructive visant à soutenir une solution pérenne dans la région.
Selon Mme Mansouri, le maintien d'un tel groupe au cœur de l'Assemblée nationale apparaît en contradiction avec l'actuelle position de la France.
Présidé par Jean-Paul Lecoq, député Gauche Démocrate et Républicaine, ce groupe compte huit députés, dont celui de LFI, Aurélien Taché, qui s'est pourtant montré favorable à la marocanité du Sahara pendant la crise franco-marocaine.