Lors d’un panel sous le thème "La coopération et le partenariat entre les think tank du Nord et du Sud dans un monde fragmenté", organisé dans le cadre de la 13e édition de la Conférence internationale annuelle du Policy Center for the New South (PCNS) "The Atlantic Dialogues", les participants ont souligné l'importance des centres de réflexion dans le développement des connaissances et l'influence des décisions publiques.
Ils ont évoqué leur rôle qui favorise des échanges constructifs, notant que la coopération entre thinks tanks est essentielle pour aborder des enjeux mondiaux complexes.
Intervenant à cette occasion, le président exécutif du PCNS, Karim El Aynaoui, a mis en avant l’utilité intellectuelle des think tanks ainsi que leur rôle d’influence dans le processus de prise de décision. Ils favorisent le développement d'un ensemble de valeurs en associant les méthodes scientifiques et les discussions constructives, a-t-il relevé.
Il a également souligné le rôle de premier plan des centres de réflexion, notamment dans les parties du monde où le développement constitue un défi majeur, en ce qu'ils permettent de mener des réflexions approfondies et d’informer les politiques publiques.
De son côté, Renato Flôres, directeur de la "Fundação Getulio Vargas International Intelligence Unit", a indiqué que le rôle principal des think tanks est d’apporter de la "matière intellectuelle" pour les décisions futures.
M. Flôres a également mis l'accent sur la nécessité d’inclure les jeunes dans les discussions car ils sont porteurs d’idées utiles à prospecter.
Il a, par ailleurs, invité à mettre en place une solide coopération entre think tanks pour aborder les problématiques saillantes, comme le contrôle des armes ou la lutte contre la pauvreté et la faim.
Pour sa part, le vice-président du German Marshall Fund, Ian Lesser, a expliqué que les think tanks ont beaucoup évolué, mais que dans un monde polarisé, il est devenu difficile de rassembler des personnes avec des points de vue différents.
Il a, dans ce sens, mis l'accent sur leur rôle qui consiste à favoriser les échanges et ce, même entre adversaires, affirmant qu’il ne s’agit pas uniquement de proposer des solutions, mais de sensibiliser et de tirer des enseignements de l’ensemble des débats.
M. Lesser a également insisté sur l’importance de créer des espaces de dialogue où différents points de vue peuvent s’exprimer, malgré les divisions croissantes.
D’autre part, le vice-président exécutif de l’Institut italien d’études politiques internationales, Paolo Magri, a indiqué que les think tanks produisent des idées et aident à construire un consensus autour de grandes thématiques.
Mettant en avant le rôle de ces institutions dans la résolution de problématiques complexes, il a plaidé pour une coopération qui aille au-delà des dynamiques transactionnelles avant de souligner nécessité d’unir les forces et de produire des rapports conjoints pour aborder les grands enjeux de manière collective.
M. Magri a, en outre, mis l'accent sur l’importance des relations humaines au sein de ces institutions, affirmant qu’il est urgent de former une nouvelle génération de think tanks avec une approche intercontinentale et de bâtir des ponts entre le Nord et le Sud.
Ils ont évoqué leur rôle qui favorise des échanges constructifs, notant que la coopération entre thinks tanks est essentielle pour aborder des enjeux mondiaux complexes.
Intervenant à cette occasion, le président exécutif du PCNS, Karim El Aynaoui, a mis en avant l’utilité intellectuelle des think tanks ainsi que leur rôle d’influence dans le processus de prise de décision. Ils favorisent le développement d'un ensemble de valeurs en associant les méthodes scientifiques et les discussions constructives, a-t-il relevé.
Il a également souligné le rôle de premier plan des centres de réflexion, notamment dans les parties du monde où le développement constitue un défi majeur, en ce qu'ils permettent de mener des réflexions approfondies et d’informer les politiques publiques.
De son côté, Renato Flôres, directeur de la "Fundação Getulio Vargas International Intelligence Unit", a indiqué que le rôle principal des think tanks est d’apporter de la "matière intellectuelle" pour les décisions futures.
M. Flôres a également mis l'accent sur la nécessité d’inclure les jeunes dans les discussions car ils sont porteurs d’idées utiles à prospecter.
Il a, par ailleurs, invité à mettre en place une solide coopération entre think tanks pour aborder les problématiques saillantes, comme le contrôle des armes ou la lutte contre la pauvreté et la faim.
Pour sa part, le vice-président du German Marshall Fund, Ian Lesser, a expliqué que les think tanks ont beaucoup évolué, mais que dans un monde polarisé, il est devenu difficile de rassembler des personnes avec des points de vue différents.
Il a, dans ce sens, mis l'accent sur leur rôle qui consiste à favoriser les échanges et ce, même entre adversaires, affirmant qu’il ne s’agit pas uniquement de proposer des solutions, mais de sensibiliser et de tirer des enseignements de l’ensemble des débats.
M. Lesser a également insisté sur l’importance de créer des espaces de dialogue où différents points de vue peuvent s’exprimer, malgré les divisions croissantes.
D’autre part, le vice-président exécutif de l’Institut italien d’études politiques internationales, Paolo Magri, a indiqué que les think tanks produisent des idées et aident à construire un consensus autour de grandes thématiques.
Mettant en avant le rôle de ces institutions dans la résolution de problématiques complexes, il a plaidé pour une coopération qui aille au-delà des dynamiques transactionnelles avant de souligner nécessité d’unir les forces et de produire des rapports conjoints pour aborder les grands enjeux de manière collective.
M. Magri a, en outre, mis l'accent sur l’importance des relations humaines au sein de ces institutions, affirmant qu’il est urgent de former une nouvelle génération de think tanks avec une approche intercontinentale et de bâtir des ponts entre le Nord et le Sud.