Fuyant la canicule, ces jeunes ne lésinent guère sur les moyens pour goûter à la joie et au plaisir du camping en se réfugiant tantôt dans leurs tentes pour fuir le soleil brûlant, ou en se rafraichissant de temps à autre dans les eaux bleues cristallines de l’Oued Ahansal, le temps de rafraîchir leur corps et faire face à une chaleur torride qui frôle les 48°C en cette période de l›année. Ces amateurs de villégiature et de détente en plein air sont conscients du prix à payer pour ce petit vent rafraichissant. Une vie qui rappelle, en quelque sorte, celle primitive où la simplicité, à toute épreuve, reste le mot d’ordre en l’absence d’eau, d’électricité… etc.
Une fois installés dans leurs tentes, les jeunes campeurs au bord de l’Oued Ahasnal, un des plus hauts étangs d’Afrique, doivent survivre dans un milieu plus ou moins sauvage où la nature prédomine. Ils se trouvent amenés à chercher quotidiennement de l’eau de source pour boire, allumer du feu à l›aide de bois et de quelques herbes séchées, préparer à manger et surtout, s’approvisionner en denrées de première nécessité à partir du village de Tillougite. Pour ce faire, ils se partagent les tâches quotidiennement.
En plein camping, pas de place pour les paresseux.
A peine l’aube, Karim, étudiant à l’Université Sultan Moulay Slimane, éprouve du plaisir à se réveiller car, c’est bel et bien son tour de régaler ses amis, en ayant la mission de préparer un bon Ftour à la marocaine. Il s›agit pour lui de réussir le pari de parvenir à préparer comme il se doit, un bon thé à la menthe, à chauffer du pain de la veille, préparer des omelettes et faire gratiner équitablement du beurre et de la confiture sur le savoureux pain du N’tafarnoute.
Une vie pour le moins «quasiprimitive» mais qui offre beaucoup de leçons à ces jeunes à la recherche de leur âme mais, qui se forgent aussi une personnalité. Un vrai dépaysement, le temps de se débarrasser des tracasseries de la vie quotidienne et surtout, de pouvoir se ressourcer et faire le plein d’énergie pour un début de saison qui s’annonce exceptionnel en ces temps de Covid-19.
Badr, jeune bachelier, a souligné qu’après trois mois de confinement, l’heure est venue pour profiter de la vie et oublier le stress engendré par la crise sanitaire induite et penser un peu à son avenir universitaire.
Pour sa part, Omar, étudiant à l’Université Sultan Moulay Slimane, pense que les zones jouxtant les lacs et les montagnes demeurent caractérisés par leur fraicheur en cette saison estivale, outre le fait qu›ils offrent l›occasion de se rafraîchir gratuitement, de respirer de l›air frais. Toutefois, les autorités d’Azilal ont récemment réhabilité des pistes amenant au lac.
La province d›Azilal sera également au centre des attentions de la communauté internationale si sa candidature est retenue pour abriter en 2022, la 10ème Conférence Internationale sur les géoparcs mondiaux de l’UNESCO, ce qui contribuera, sans nul doute, à renforcer son attractivité et son rayonnement à l’international.
Une fois installés dans leurs tentes, les jeunes campeurs au bord de l’Oued Ahasnal, un des plus hauts étangs d’Afrique, doivent survivre dans un milieu plus ou moins sauvage où la nature prédomine. Ils se trouvent amenés à chercher quotidiennement de l’eau de source pour boire, allumer du feu à l›aide de bois et de quelques herbes séchées, préparer à manger et surtout, s’approvisionner en denrées de première nécessité à partir du village de Tillougite. Pour ce faire, ils se partagent les tâches quotidiennement.
En plein camping, pas de place pour les paresseux.
A peine l’aube, Karim, étudiant à l’Université Sultan Moulay Slimane, éprouve du plaisir à se réveiller car, c’est bel et bien son tour de régaler ses amis, en ayant la mission de préparer un bon Ftour à la marocaine. Il s›agit pour lui de réussir le pari de parvenir à préparer comme il se doit, un bon thé à la menthe, à chauffer du pain de la veille, préparer des omelettes et faire gratiner équitablement du beurre et de la confiture sur le savoureux pain du N’tafarnoute.
Une vie pour le moins «quasiprimitive» mais qui offre beaucoup de leçons à ces jeunes à la recherche de leur âme mais, qui se forgent aussi une personnalité. Un vrai dépaysement, le temps de se débarrasser des tracasseries de la vie quotidienne et surtout, de pouvoir se ressourcer et faire le plein d’énergie pour un début de saison qui s’annonce exceptionnel en ces temps de Covid-19.
Badr, jeune bachelier, a souligné qu’après trois mois de confinement, l’heure est venue pour profiter de la vie et oublier le stress engendré par la crise sanitaire induite et penser un peu à son avenir universitaire.
Pour sa part, Omar, étudiant à l’Université Sultan Moulay Slimane, pense que les zones jouxtant les lacs et les montagnes demeurent caractérisés par leur fraicheur en cette saison estivale, outre le fait qu›ils offrent l›occasion de se rafraîchir gratuitement, de respirer de l›air frais. Toutefois, les autorités d’Azilal ont récemment réhabilité des pistes amenant au lac.
La province d›Azilal sera également au centre des attentions de la communauté internationale si sa candidature est retenue pour abriter en 2022, la 10ème Conférence Internationale sur les géoparcs mondiaux de l’UNESCO, ce qui contribuera, sans nul doute, à renforcer son attractivité et son rayonnement à l’international.