Cette performance a permis de contenir le creusement du déficit courant, qui s'est établi à 29,1 milliards de dirhams, soit 2,3% du PIB au lieu de 1,2% il y a un an, ajoute ce rapport présenté par le Wali de BAM, Abdellatif Jouahri, samedi au Palais Royal de Rabat, à SM le Roi Mohammed VI.
Toutefois, les inquiétudes soulevées par les vagues récurrentes de contaminations ont continué d'affecter l'activité touristique, les recettes des voyages revenant à 34,3 milliards de dirhams, contre 36,4 milliards de dirhams en 2020 et 78,7 milliards de dirhams en 2019, selon la même source.
Le rapport note également que le commerce extérieur a connu une reprise significative en 2021, en ligne avec l'assouplissement des restrictions sanitaires et la reprise de la demande tant au niveau national qu'international.
Les importations de biens ont augmenté de 24,7%, tirée notamment par l'alourdissement de la facture énergétique et la hausse des acquisitions de produits finis de consommation. De leur part, les exportations ont progressé de 25%, reflétant celle des ventes de phosphate et dérivés et de l'automobile.
Ces évolutions se sont traduites par une nette aggravation du déficit commercial qui a atteint l'équivalent de 15,5% du PIB, avec toutefois une quasi-stagnation du taux de couverture à 62,3%.
Toutefois, les inquiétudes soulevées par les vagues récurrentes de contaminations ont continué d'affecter l'activité touristique, les recettes des voyages revenant à 34,3 milliards de dirhams, contre 36,4 milliards de dirhams en 2020 et 78,7 milliards de dirhams en 2019, selon la même source.
Le rapport note également que le commerce extérieur a connu une reprise significative en 2021, en ligne avec l'assouplissement des restrictions sanitaires et la reprise de la demande tant au niveau national qu'international.
Les importations de biens ont augmenté de 24,7%, tirée notamment par l'alourdissement de la facture énergétique et la hausse des acquisitions de produits finis de consommation. De leur part, les exportations ont progressé de 25%, reflétant celle des ventes de phosphate et dérivés et de l'automobile.
Ces évolutions se sont traduites par une nette aggravation du déficit commercial qui a atteint l'équivalent de 15,5% du PIB, avec toutefois une quasi-stagnation du taux de couverture à 62,3%.