En 2021, le Bureau marocain du droit d'auteur a réalisé un chiffre d'affaires de plus de 18 milliards de centimes, selon le ministre de la Culture, de la Jeunesse et de la Communication, Mohamed Mehdi Bensaid, il s’agit des droits d'auteur et des primes pour l'édition spéciale, dont 17 milliards de centimes ont été distribués.
Bensaid a souligné que le Bureau marocain du droit d'auteur est l'organe mis en place par l'Etat pour protéger la créativité et les droits des créateurs, en application du Décret du 8 mars 1965, qui stipule que « le Bureau marocain du droit d’auteur (...) Il est seul chargé de percevoir et de répartir les droits d’auteurs sous toutes leurs formes existantes et à venir. Il gère sur le territoire du Royaume du Maroc les intérêts des diverses sociétés étrangères d’auteurs dans le cadre des conventions ou accords passés avec elles ».
Le responsable gouvernemental a déclaré que le BMDA était confronté à de grandes difficultés dans l'exercice de ses fonctions liées à percevoir les droits d'auteur, « car de nombreux profiteurs exploitent des œuvres littéraires et artistiques sans autorisation préalable du Bureau et refusent d'acquitter leurs obligations du créancier ».
Il a expliqué que le phénomène de non-paiement des droits des auteurs par les institutions qui exploitent les œuvres littéraires et artistiques protégées, impacte négativement les recettes du Bureau, et entrave son travail pour améliorer les conditions matérielles et morales des auteurs ainsi que le respect des obligations internationales de notre pays dans ce domaine.
Bensaid a souligné que le Bureau marocain du droit d'auteur est l'organe mis en place par l'Etat pour protéger la créativité et les droits des créateurs, en application du Décret du 8 mars 1965, qui stipule que « le Bureau marocain du droit d’auteur (...) Il est seul chargé de percevoir et de répartir les droits d’auteurs sous toutes leurs formes existantes et à venir. Il gère sur le territoire du Royaume du Maroc les intérêts des diverses sociétés étrangères d’auteurs dans le cadre des conventions ou accords passés avec elles ».
Le responsable gouvernemental a déclaré que le BMDA était confronté à de grandes difficultés dans l'exercice de ses fonctions liées à percevoir les droits d'auteur, « car de nombreux profiteurs exploitent des œuvres littéraires et artistiques sans autorisation préalable du Bureau et refusent d'acquitter leurs obligations du créancier ».
Il a expliqué que le phénomène de non-paiement des droits des auteurs par les institutions qui exploitent les œuvres littéraires et artistiques protégées, impacte négativement les recettes du Bureau, et entrave son travail pour améliorer les conditions matérielles et morales des auteurs ainsi que le respect des obligations internationales de notre pays dans ce domaine.
