Les opérations sécuritaires menées par les services de la police judiciaire à Salé, Témara, Agadir, Oujda et Meknès, durant ce mois de juin ont permis l'interpellation de 14 individus pour leur implication présumée dans des affaires de possession et trafic de ce type d’outils.
Un communiqué de la DGSN indique que ces opérations ont ciblé des annonces publiées sur les réseaux sociaux et sur les sites de commerce électronique qui vendent des puces électroniques utilisées pour recevoir des appels téléphoniques et connectées à une oreillette performante, ajoutant que lesdites opérations ont permis l’interpellation de 7 suspects à Salé et 6 autres dans les villes de Témara, Oujda et Agadir, ainsi qu'un autre à Meknès, soupçonnés d'être impliqués dans la vente de ces matériels développés.
Les opérations de perquisitions effectuées dans le cadre de cette affaire ont permis aussi la saisie de 345 puces électroniques de différents types, ainsi qu’une dizaine d’écouteurs, de batteries et de chargeurs, précise la DGSN, notant que des ordinateurs et des téléphones portables portant des traces numériques des opérations de trafic de ces matériels sur internet, ont également été saisis.
Une année pas très bonne pour les trafiquants
Les trafiquants ne vont pas vendre grand-chose cette année, car en plus des dispositions anti-triche habituelles, les mesures organisationnelles adoptées cette année, dans le cadre de la lutte contre le coronavirus, rendent pratiquement impossible toute pratique de tricherie lors des examens.
Le ministère de l’Education nationale, a informé les candidats qui passeront l'examen national, qu'il faut présenter cette année «la déclaration sur l'honneur signée par le candidat, attestant de la prise de connaissance des dispositions de la loi contre la fraude lors de l'examen unifié du baccalauréat». Il a également rappelé que parmi les mesures liées à la répression de la fraude, figurent notamment l'interdiction des téléphones portables ou n'importe quel support électronique au sein des espaces dédiés à l'examen, notant que la simple possession de tels supports est considérée comme un cas de fraude punissable. Sans oublier que le ministre de l’Education, Saaïd Amzazi, avait également déclaré que le nombre de candidats par salle sera réduit à dix. Ainsi, la tricherie s’avère une «mission impossible».
Un communiqué de la DGSN indique que ces opérations ont ciblé des annonces publiées sur les réseaux sociaux et sur les sites de commerce électronique qui vendent des puces électroniques utilisées pour recevoir des appels téléphoniques et connectées à une oreillette performante, ajoutant que lesdites opérations ont permis l’interpellation de 7 suspects à Salé et 6 autres dans les villes de Témara, Oujda et Agadir, ainsi qu'un autre à Meknès, soupçonnés d'être impliqués dans la vente de ces matériels développés.
Les opérations de perquisitions effectuées dans le cadre de cette affaire ont permis aussi la saisie de 345 puces électroniques de différents types, ainsi qu’une dizaine d’écouteurs, de batteries et de chargeurs, précise la DGSN, notant que des ordinateurs et des téléphones portables portant des traces numériques des opérations de trafic de ces matériels sur internet, ont également été saisis.
Une année pas très bonne pour les trafiquants
Les trafiquants ne vont pas vendre grand-chose cette année, car en plus des dispositions anti-triche habituelles, les mesures organisationnelles adoptées cette année, dans le cadre de la lutte contre le coronavirus, rendent pratiquement impossible toute pratique de tricherie lors des examens.
Le ministère de l’Education nationale, a informé les candidats qui passeront l'examen national, qu'il faut présenter cette année «la déclaration sur l'honneur signée par le candidat, attestant de la prise de connaissance des dispositions de la loi contre la fraude lors de l'examen unifié du baccalauréat». Il a également rappelé que parmi les mesures liées à la répression de la fraude, figurent notamment l'interdiction des téléphones portables ou n'importe quel support électronique au sein des espaces dédiés à l'examen, notant que la simple possession de tels supports est considérée comme un cas de fraude punissable. Sans oublier que le ministre de l’Education, Saaïd Amzazi, avait également déclaré que le nombre de candidats par salle sera réduit à dix. Ainsi, la tricherie s’avère une «mission impossible».