Cette décision a été prise suite à la nette décélération de l’inflation qui est revenue d’un pic de 10,1% en glissement annuel en février à 5% en août, favorisée par les mesures mises en place par le Gouvernement, l’atténuation des pressions d’origine externe et le resserrement de la politique monétaire.
Après la décélération à 1,3% en 2022, la croissance connaitrait, compte non tenu des conséquences du séisme d’Al Haouz et des retombées des mesures de reconstruction et de relance annoncées, une amélioration graduelle passant à 2,9% en 2023 puis à 3,2% en 2024.
Cette évolution serait le résultat d’un accroissement de 5% de la valeur ajoutée agricole en 2023 et de 5,9% en 2024 sous l’hypothèse d’une production céréalière moyenne de 70 millions de quintaux. Pour les activités non agricoles, leur rythme de progression devrait enregistrer un ralentissement à 2,6% en 2023, suivi d’une accélération à 3% en 2024.
Après la décélération à 1,3% en 2022, la croissance connaitrait, compte non tenu des conséquences du séisme d’Al Haouz et des retombées des mesures de reconstruction et de relance annoncées, une amélioration graduelle passant à 2,9% en 2023 puis à 3,2% en 2024.
Cette évolution serait le résultat d’un accroissement de 5% de la valeur ajoutée agricole en 2023 et de 5,9% en 2024 sous l’hypothèse d’une production céréalière moyenne de 70 millions de quintaux. Pour les activités non agricoles, leur rythme de progression devrait enregistrer un ralentissement à 2,6% en 2023, suivi d’une accélération à 3% en 2024.