L’Italien Franceschi en action
L’honneur du basket marocain, le développement du sport dans la ville, l’estime du championnat de la division excellence, le fair-play des dirigeants et des joueurs, l’excellent arbitrage, la très bonne organisation de la rencontre, voici les conséquences du grand derby qui a opposé l’IRT et Majd, deux formations qui ont séduit le nombreux et merveilleux public de la salle couverte de Ziaten.
Incroyable mai vrai, le spectacle qui était offert sur l’aire du jeu était d’une qualité remarquable digne des fameux chocs européens.
On jouait le prestige, on jouait la réputation et on jouait bien sûr les places avancées du classement.
D’un côté comme de l’autre, il y avait ce qu’on appelait en compétition sportive : la classe. Il suffisait de voir des basketteurs de la trempe de Harrak, Zakaria, Cherkaoui, John et bien d’autres avec une mention spéciale pour l’Italien Franceschi qui évoluait la saison écoulée au championnat allemand.
En effet, cette nouvelle recrue a gratifié les spectateurs des gradins en donnant un récital du sport de la balle orange avec des paniers spectaculaires aussi bien des deux que de trois points.
En trois matches seulement, il est considéré comme le meilleur étranger de la compétition et pourquoi pas le meilleur joueur.
Avec l’Italien dans ses rangs, Majd Tanja aurait remporté facilement le derby. L’IRT a gagné par 89-83, mais Majd n’a pas démérité. Chez les premiers, les vedettes ont fait la différence, chez le second le groupe s’est imposé soit avec l’opération suivante en calcul : IRT = individualités, Majd = groupe.
Il manquait aussi à l’équipe de Kajjaj un bon banc de touche pour exprimer bien ses idées et changer de tactique.
Quant à l’IRT, il s’agit d’une formation « mûre » où il y a un mélange de jeunes et de vétérans, d’une expérience continue et surtout d’un riche effectif aussi bien sur le « tapis» que sur le banc des remplaçants.
Il est sûr qu’il aura son mot à dire en ligue et en coupe pour opter pour une participation africaine ou arabe.
A vrai dire, les présidents des deux clubs Chebaâ pour l’IRT et Bahid pour Majd sont à féliciter parce qu’ils ont donné le meilleur d’eux-mêmes pour constituer de grandes formations de basket dans la ville de Tanger.
Le spectacle offert du derby devant les caméras de la SNRT, mérite tous les éloges et il y a plus d’une dizaine d’années que le public marocain n’a pas vu quelque chose de pareil en ne cessant de critiquer l’actuel basket national.
Autrefois, l’AS de Salé évoluait tout seul dans un championnat moribond sans aucune motivation.
Maintenant, on peut bien dire que les Slaouis ont vraiment deux adversaires de taille pour lancer la compétition.
Le basket tangérois était en fête car avant le lever du rideau du derby, un vibrant hommage a été rendu à l’IRT champion du Maroc U14 ans pour avoir remporté le titre national 2022. A cette occasion, un défilé spécial de cette catégorie avec son staff technique et médical a été organisé dans la salle couverte sous les applaudissements d’un public enthousiastes qui criait : « Tanjaoui wrassou 3ali ». « Campeones, campeones ! ».
Incroyable mai vrai, le spectacle qui était offert sur l’aire du jeu était d’une qualité remarquable digne des fameux chocs européens.
On jouait le prestige, on jouait la réputation et on jouait bien sûr les places avancées du classement.
D’un côté comme de l’autre, il y avait ce qu’on appelait en compétition sportive : la classe. Il suffisait de voir des basketteurs de la trempe de Harrak, Zakaria, Cherkaoui, John et bien d’autres avec une mention spéciale pour l’Italien Franceschi qui évoluait la saison écoulée au championnat allemand.
En effet, cette nouvelle recrue a gratifié les spectateurs des gradins en donnant un récital du sport de la balle orange avec des paniers spectaculaires aussi bien des deux que de trois points.
En trois matches seulement, il est considéré comme le meilleur étranger de la compétition et pourquoi pas le meilleur joueur.
Avec l’Italien dans ses rangs, Majd Tanja aurait remporté facilement le derby. L’IRT a gagné par 89-83, mais Majd n’a pas démérité. Chez les premiers, les vedettes ont fait la différence, chez le second le groupe s’est imposé soit avec l’opération suivante en calcul : IRT = individualités, Majd = groupe.
Il manquait aussi à l’équipe de Kajjaj un bon banc de touche pour exprimer bien ses idées et changer de tactique.
Quant à l’IRT, il s’agit d’une formation « mûre » où il y a un mélange de jeunes et de vétérans, d’une expérience continue et surtout d’un riche effectif aussi bien sur le « tapis» que sur le banc des remplaçants.
Il est sûr qu’il aura son mot à dire en ligue et en coupe pour opter pour une participation africaine ou arabe.
A vrai dire, les présidents des deux clubs Chebaâ pour l’IRT et Bahid pour Majd sont à féliciter parce qu’ils ont donné le meilleur d’eux-mêmes pour constituer de grandes formations de basket dans la ville de Tanger.
Le spectacle offert du derby devant les caméras de la SNRT, mérite tous les éloges et il y a plus d’une dizaine d’années que le public marocain n’a pas vu quelque chose de pareil en ne cessant de critiquer l’actuel basket national.
Autrefois, l’AS de Salé évoluait tout seul dans un championnat moribond sans aucune motivation.
Maintenant, on peut bien dire que les Slaouis ont vraiment deux adversaires de taille pour lancer la compétition.
Le basket tangérois était en fête car avant le lever du rideau du derby, un vibrant hommage a été rendu à l’IRT champion du Maroc U14 ans pour avoir remporté le titre national 2022. A cette occasion, un défilé spécial de cette catégorie avec son staff technique et médical a été organisé dans la salle couverte sous les applaudissements d’un public enthousiastes qui criait : « Tanjaoui wrassou 3ali ». « Campeones, campeones ! ».
