"Il est temps d'oeuvrer au niveau onusien pour repenser la relation entre les institutions de médiation et le système international des droits de l’Homme, surtout que la mise en œuvre de notre mandat constitue un élément essentiel et une partie intégrante des efforts internationaux continus pour la réalisation des ODD, en particulier l’objectif 16 qui concerne le développement de sociétés pacifiques et d’institutions efficaces et inclusives", a indiqué M. Benalilou dans une allocution à l'ouverture de la 11è session du conseil d'administration de l'Association des Ombudsman et Médiateurs des Etats membres de l'Organisation de la coopération islamique (OCI).
La conjoncture que traverse le monde est "critique" en termes des droits humains, en raison des conflits armés et des répercussions de l'intelligence artificielle, ce qui laisse présager une nouvelle génération de graves violations des valeurs des droits de l'Homme, à travers de nouvelles formes, a-t-il expliqué.
Il a, dans ce sillage, appelé à trouver les meilleurs moyens d'institutionnaliser les exigences de "l'immunité" dont doivent bénéficier à tous les médiateurs dans le cadre de l'exercice de leur mandat en matière de droits de l'Homme, élargir leurs attributions, renforcer leurs interventions et à soutenir leurs rôles à travers le monde, soulignant le développement et la dynamique que connaît l'action des institutions de médiation, en particulier dans une conjoncture où le monde est confronté à des défis complexes qui affectent le champ des droits et libertés.
M. Benalilou a, d'autre part, indiqué que cette réunion se veut une étape de coopération constructive et d'action commune entre les institutions de l'Ombudsman, et constitue une occasion pour consolider davantage les relations entre l'association et son environnement international.
Ce conclave représente un jalon qui vient renforcer les initiatives de coopération entre les institutions de médiateur des États membres de l'OCI, en leur permettant de renforcer leurs interventions conjointes, dans le cadre d'un champ de droits humains propice pour travailler de manière efficace et efficiente afin d'atteindre les résultats escomptés, et offre aussi l'occasion d'évaluer les plans d'action de l'association et d'établir une feuille de route pour l'avenir, a-t-il conclu.
La conjoncture que traverse le monde est "critique" en termes des droits humains, en raison des conflits armés et des répercussions de l'intelligence artificielle, ce qui laisse présager une nouvelle génération de graves violations des valeurs des droits de l'Homme, à travers de nouvelles formes, a-t-il expliqué.
Il a, dans ce sillage, appelé à trouver les meilleurs moyens d'institutionnaliser les exigences de "l'immunité" dont doivent bénéficier à tous les médiateurs dans le cadre de l'exercice de leur mandat en matière de droits de l'Homme, élargir leurs attributions, renforcer leurs interventions et à soutenir leurs rôles à travers le monde, soulignant le développement et la dynamique que connaît l'action des institutions de médiation, en particulier dans une conjoncture où le monde est confronté à des défis complexes qui affectent le champ des droits et libertés.
M. Benalilou a, d'autre part, indiqué que cette réunion se veut une étape de coopération constructive et d'action commune entre les institutions de l'Ombudsman, et constitue une occasion pour consolider davantage les relations entre l'association et son environnement international.
Ce conclave représente un jalon qui vient renforcer les initiatives de coopération entre les institutions de médiateur des États membres de l'OCI, en leur permettant de renforcer leurs interventions conjointes, dans le cadre d'un champ de droits humains propice pour travailler de manière efficace et efficiente afin d'atteindre les résultats escomptés, et offre aussi l'occasion d'évaluer les plans d'action de l'association et d'établir une feuille de route pour l'avenir, a-t-il conclu.