Lors d’un point de presse à l'issue d'une rencontre avec M. Lazare Eloundou Assomo, Directeur du Centre du patrimoine mondial de l'Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO), M. Bensaid a affirmé que le Département de la Culture est engagé dans d'importantes relations avec l’UNESCO dans le domaine de la promotion des monuments historiques et de la protection du patrimoine immatériel.
Précisant que la discussion avec M. Eloundou Assomo s’est essentiellement articulée autour du patrimoine matériel, le ministre a affirmé que les deux parties sont engagées dans le renforcement des inscriptions marocaines auprès de l’organisation onusienne, assurant qu’il s’agit aujourd’hui de renforcer l’expérience marocaine, reconnue aux niveaux continental et international, et de favoriser l’échange d’expériences avec d’autres pays.
Et d’ajouter que la rencontre a porté sur la consolidation du rôle joué par l’Institut National des Sciences de l'Archéologie et du Patrimoine (INSAP), qui deviendra "un mécanisme d’étude" du patrimoine matériel et immatériel, précisant qu’il sera également question d’échanger les expériences avec des étudiants du monde.
"Notre relation avec l’UNESCO continue d’évoluer avec la mise en œuvre de plusieurs nouvelles conventions qui seront discutées", a-t-il fait remarquer, revenant sur la place accordée à l’architecture de terre dans celles-ci.
De son côté, M. Eloundou Assomo a rappelé que le Maroc, qui a rejoint la communauté du patrimoine mondial en 1975, possède aujourd’hui neuf importants sites qui sont "très bien gérés et bien protégés".
Notant que les discussions se sont axées sur les projets futurs, le responsable onusien a souligné que le Royaume est un pays actif dans le domaine de la culture, rappelant qu’il a abrité la 17ème session du Comité intergouvernemental de sauvegarde du patrimoine culturel immatériel et s’apprête à organiser la célébration de la journée internationale du jazz à Tanger en collaboration avec l’UNESCO qui sera également l’invité spécial du Salon international du Livre et de l'Édition (SIEL) de Rabat.
"Rabat est un site du patrimoine mondial très important", a souligné M. Eloundou Assomo, qui était appelé à commenter les efforts en cours dans la capitale, affirmant que l'expérience de Rabat est "un exemple" à suivre en matière de gestion de patrimoine.
Par ailleurs, il a salué l’engagement et le dévouement des autorités en charge du patrimoine mondial au ministère dans la gestion de ce site important à travers la mise en place d’activités "admirables", assurant que ce qui se fait à Rabat est utilisé comme "protocole" que l’UNESCO tente de répliquer dans d’autres sites du patrimoine mondial.
"Nous avons, avec le ministère, un accord de coopération pour aider à soutenir l’Afrique", a-t-il fait savoir, précisant que les deux parties vont œuvrer pour permettre que l’expertise marocaine puisse aider à préserver les sites du patrimoine mondial en Afrique.
L'importance du partenariat entre le Maroc, sous la conduite de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, et l'UNESCO a été soulignée d'emblée lors de cette rencontre, précise, par ailleurs, le ministère dans un communiqué.
Dans ce cadre, M. Bensaid a passé en revue les développements du nouveau projet de loi qui devrait être soumis au Conseil du gouvernement et qui comprend un certain nombre de nouvelles dispositions visant à préserver, à conserver et à valoriser le patrimoine culturel du pays, ajoute le communiqué.
Les principaux aspects du renforcement de la coopération entre le Maroc et l'UNESCO dans le domaine de la préservation du patrimoine mondial ont été examinés, ajoute la même source, rappelant que le Maroc avait signé une convention-cadre avec l'organisation onusienne en 2022, visant à échanger des expertises, à renforcer les compétences et à contribuer à la bonne préparation des dossiers d'inscription des éléments du patrimoine sur les listes indicatives de l'UNESCO.
Les deux parties ont discuté du bilan de cette coopération, notamment dans le domaine du patrimoine matériel, et de la nécessité pour le Maroc d'enregistrer d'autres éléments auprès de l‘UNESCO.
Au programme de la visite de travail de M. Eloundou Assomo au Maroc figurent des rencontres avec plusieurs responsables marocains et des visites aux villes de Rabat, Marrakech, Essaouira et à la mosquée historique de Tinmel (province d'Al Haouz), qui a été endommagée par le tremblement de terre de septembre dernier.
Précisant que la discussion avec M. Eloundou Assomo s’est essentiellement articulée autour du patrimoine matériel, le ministre a affirmé que les deux parties sont engagées dans le renforcement des inscriptions marocaines auprès de l’organisation onusienne, assurant qu’il s’agit aujourd’hui de renforcer l’expérience marocaine, reconnue aux niveaux continental et international, et de favoriser l’échange d’expériences avec d’autres pays.
Et d’ajouter que la rencontre a porté sur la consolidation du rôle joué par l’Institut National des Sciences de l'Archéologie et du Patrimoine (INSAP), qui deviendra "un mécanisme d’étude" du patrimoine matériel et immatériel, précisant qu’il sera également question d’échanger les expériences avec des étudiants du monde.
"Notre relation avec l’UNESCO continue d’évoluer avec la mise en œuvre de plusieurs nouvelles conventions qui seront discutées", a-t-il fait remarquer, revenant sur la place accordée à l’architecture de terre dans celles-ci.
De son côté, M. Eloundou Assomo a rappelé que le Maroc, qui a rejoint la communauté du patrimoine mondial en 1975, possède aujourd’hui neuf importants sites qui sont "très bien gérés et bien protégés".
Notant que les discussions se sont axées sur les projets futurs, le responsable onusien a souligné que le Royaume est un pays actif dans le domaine de la culture, rappelant qu’il a abrité la 17ème session du Comité intergouvernemental de sauvegarde du patrimoine culturel immatériel et s’apprête à organiser la célébration de la journée internationale du jazz à Tanger en collaboration avec l’UNESCO qui sera également l’invité spécial du Salon international du Livre et de l'Édition (SIEL) de Rabat.
"Rabat est un site du patrimoine mondial très important", a souligné M. Eloundou Assomo, qui était appelé à commenter les efforts en cours dans la capitale, affirmant que l'expérience de Rabat est "un exemple" à suivre en matière de gestion de patrimoine.
Par ailleurs, il a salué l’engagement et le dévouement des autorités en charge du patrimoine mondial au ministère dans la gestion de ce site important à travers la mise en place d’activités "admirables", assurant que ce qui se fait à Rabat est utilisé comme "protocole" que l’UNESCO tente de répliquer dans d’autres sites du patrimoine mondial.
"Nous avons, avec le ministère, un accord de coopération pour aider à soutenir l’Afrique", a-t-il fait savoir, précisant que les deux parties vont œuvrer pour permettre que l’expertise marocaine puisse aider à préserver les sites du patrimoine mondial en Afrique.
L'importance du partenariat entre le Maroc, sous la conduite de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, et l'UNESCO a été soulignée d'emblée lors de cette rencontre, précise, par ailleurs, le ministère dans un communiqué.
Dans ce cadre, M. Bensaid a passé en revue les développements du nouveau projet de loi qui devrait être soumis au Conseil du gouvernement et qui comprend un certain nombre de nouvelles dispositions visant à préserver, à conserver et à valoriser le patrimoine culturel du pays, ajoute le communiqué.
Les principaux aspects du renforcement de la coopération entre le Maroc et l'UNESCO dans le domaine de la préservation du patrimoine mondial ont été examinés, ajoute la même source, rappelant que le Maroc avait signé une convention-cadre avec l'organisation onusienne en 2022, visant à échanger des expertises, à renforcer les compétences et à contribuer à la bonne préparation des dossiers d'inscription des éléments du patrimoine sur les listes indicatives de l'UNESCO.
Les deux parties ont discuté du bilan de cette coopération, notamment dans le domaine du patrimoine matériel, et de la nécessité pour le Maroc d'enregistrer d'autres éléments auprès de l‘UNESCO.
Au programme de la visite de travail de M. Eloundou Assomo au Maroc figurent des rencontres avec plusieurs responsables marocains et des visites aux villes de Rabat, Marrakech, Essaouira et à la mosquée historique de Tinmel (province d'Al Haouz), qui a été endommagée par le tremblement de terre de septembre dernier.