Il s’agit là d’un véritable tournant pour les jeunes Marocains. Le 21 janvier 2025, soit un jour après la généralisation du Pass Jeunes à l’échelle nationale, Mohamed Mehdi Bensaid, ministre de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, a exposé devant la Chambre des Conseillers les objectifs de cette initiative, dont le projet pilote, lancé il y a trois ans, promettant une nouvelle ère d’inclusion et d’autonomisation pour les 16-30 ans.
L’objectif principal est de bâtir un pont solide entre la jeunesse et les institutions. « Avec ce Pass, nous voulons inspirer les jeunes à croire en leur rêve marocain et à se dépasser », a expliqué Bensaid, soulignant que le projet, initialement testé dans la région de Rabat-Salé-Kénitra, a attiré pas moins de 250 000 jeunes et devrait concerner 2,6 millions d’utilisateurs d’ici 2026. « L’idée est que chaque jeune sente que l’État marocain le soutient dans ses aspirations pour améliorer sa situation », a ajouté le ministre, précisant que de telles initiatives sont essentielles pour restaurer la confiance de cette tranche de la population envers les institutions publiques.
Bensaid a également précisé que le Pass Jeunes n’est pas une simple carte, mais un véritable outil multifonctionnel qui transforme l’accès aux services. Sport, culture, santé, transports, avantages bancaires : grâce à l’application mobile dédiée, les jeunes peuvent désormais profiter d’une large gamme de services. « Nous avons anticipé les éventuelles difficultés techniques, notamment dans les zones rurales, en permettant l’accès à l’application même sans connexion internet », a ajouté le ministre devant les conseillers.
L’initiative ne se limite pas à son aspect social, mais promet également des retombées économiques significatives, notamment dans le secteur bancaire. En collaborant avec des partenaires publics et privés, le Pass Jeunes ouvre des perspectives d’emploi et stimule l’investissement dans des équipements numériques essentiels pour la formation et le travail. Sur ce point, le ministre a expliqué que les jeunes peuvent bénéficier des services à la carte selon leurs besoins. « Il y a de nombreux jeunes qui, faute de moyens ou de temps, n’ont pas pu suivre certaines formations. Aujourd’hui, ils peuvent en bénéficier grâce au Pass », a noté Bensaid.
Les résultats dans la région pilote sont parlants, l’application a enregistré 50.000 inscriptions en seulement quatre mois après son lancement. Désormais, le ministère compte sur l’appui des secteurs privé et public pour élargir encore l’éventail des prestations offertes. Le Pass Jeunes reflète une ambition plus large, renforcer l’égalité des chances, tout en adaptant les services aux spécificités régionales. En ciblant un total de 8,5 millions de jeunes, le gouvernement souhaite faire de cette génération un moteur clé pour le développement économique et culturel du Maroc.
L’objectif principal est de bâtir un pont solide entre la jeunesse et les institutions. « Avec ce Pass, nous voulons inspirer les jeunes à croire en leur rêve marocain et à se dépasser », a expliqué Bensaid, soulignant que le projet, initialement testé dans la région de Rabat-Salé-Kénitra, a attiré pas moins de 250 000 jeunes et devrait concerner 2,6 millions d’utilisateurs d’ici 2026. « L’idée est que chaque jeune sente que l’État marocain le soutient dans ses aspirations pour améliorer sa situation », a ajouté le ministre, précisant que de telles initiatives sont essentielles pour restaurer la confiance de cette tranche de la population envers les institutions publiques.
Bensaid a également précisé que le Pass Jeunes n’est pas une simple carte, mais un véritable outil multifonctionnel qui transforme l’accès aux services. Sport, culture, santé, transports, avantages bancaires : grâce à l’application mobile dédiée, les jeunes peuvent désormais profiter d’une large gamme de services. « Nous avons anticipé les éventuelles difficultés techniques, notamment dans les zones rurales, en permettant l’accès à l’application même sans connexion internet », a ajouté le ministre devant les conseillers.
L’initiative ne se limite pas à son aspect social, mais promet également des retombées économiques significatives, notamment dans le secteur bancaire. En collaborant avec des partenaires publics et privés, le Pass Jeunes ouvre des perspectives d’emploi et stimule l’investissement dans des équipements numériques essentiels pour la formation et le travail. Sur ce point, le ministre a expliqué que les jeunes peuvent bénéficier des services à la carte selon leurs besoins. « Il y a de nombreux jeunes qui, faute de moyens ou de temps, n’ont pas pu suivre certaines formations. Aujourd’hui, ils peuvent en bénéficier grâce au Pass », a noté Bensaid.
Les résultats dans la région pilote sont parlants, l’application a enregistré 50.000 inscriptions en seulement quatre mois après son lancement. Désormais, le ministère compte sur l’appui des secteurs privé et public pour élargir encore l’éventail des prestations offertes. Le Pass Jeunes reflète une ambition plus large, renforcer l’égalité des chances, tout en adaptant les services aux spécificités régionales. En ciblant un total de 8,5 millions de jeunes, le gouvernement souhaite faire de cette génération un moteur clé pour le développement économique et culturel du Maroc.
