Le Trésorier du Royaume a également souligné le rôle de l'amélioration du capital humain en termes de recherche scientifique et d'innovation en vue d'être compétitif à l'échelle internationale. «Aujourd'hui la vision est plus claire. Le grand défi est d'apporter les financements nécessaires à la mise en œuvre des politique publiques, tout en étant conscient de l'importance de la solidarité et de la contribution des uns et des autres en fonction des capacités», a estimé Bensouda. Interrogé sur le choix des défis des finances publiques, en tant que thème retenu pour la 14éme édition de ce colloque, il a expliqué qu'il s'agit d'un sujet d'actualité, choisi en coordination avec la FONDAFIP.
C'est une occasion de réfléchir sur les choix budgétaires, c'est-à-dire les secteurs d'activité qui sont prioritaires, notamment l'éducation, la santé et la protection sociale comme définis dans le rapport de la commission sur le nouveau modèle du développement (CSMD) et le projet de loi de finance au titre de l'exercice 2022 (PLF-2022), a-t-il noté, rappelant que le choix de ces secteurs s'inscrit dans le cadre de la mise en œuvre des Hautes Instructions de SM le Roi Mohammed VI concernant la valorisation du capital humain.
«Nous ne pouvons plus concevoir ni un développement ni une croissance économique sans prendre en considération le capital humain. S'occuper de l'être humain, qui constitue en principe un facteur de production, permettrait de mobiliser les ressources pour répondre à la demande sociale, d'améliorer la productivité et d'augmenter la croissance», a-t-il conclu.
C'est une occasion de réfléchir sur les choix budgétaires, c'est-à-dire les secteurs d'activité qui sont prioritaires, notamment l'éducation, la santé et la protection sociale comme définis dans le rapport de la commission sur le nouveau modèle du développement (CSMD) et le projet de loi de finance au titre de l'exercice 2022 (PLF-2022), a-t-il noté, rappelant que le choix de ces secteurs s'inscrit dans le cadre de la mise en œuvre des Hautes Instructions de SM le Roi Mohammed VI concernant la valorisation du capital humain.
«Nous ne pouvons plus concevoir ni un développement ni une croissance économique sans prendre en considération le capital humain. S'occuper de l'être humain, qui constitue en principe un facteur de production, permettrait de mobiliser les ressources pour répondre à la demande sociale, d'améliorer la productivité et d'augmenter la croissance», a-t-il conclu.