La déclaration de M. Gbeh-zohngar Findley a été faite en marge de la visite de travail qu’il effectue au Royaume. En plus du consulat du Liberia à Casablanca et de son ambassade à Rabat, «nous avons l’intention d’améliorer nos relations avec le Maroc et d’étendre nos services dans de nouvelles régions du Royaume», a dit M. Findley dans un point de presse à l’issue de ses entretiens avec le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, M. Nasser Bourita.
Cette décision permettra de promouvoir les relations bilatérales de longue date qui existent entre le Liberia et le Maroc, a soutenu le chef de la diplomatie libérienne. «Dès la semaine prochaine, toutes les formalités seront effectuées et je reviendrai pour l’ouverture du consulat», a-t-il assuré. Pour sa part, M. Bourita a exprimé les remerciements du Maroc au Liberia pour son soutien clair et constant à la marocanité du Sahara, aussi bien au niveau des organisations régionales qu’internationales. «Le Liberia a toujours été un soutien fiable du Maroc dans tous ses combats diplomatiques visant à préserver son intégrité territoriale», a affirmé M. Bourita.
Le Liberia vient ainsi s’ajouter à la longue liste de pays qui ont exprimé leur soutien à la marocanité du Sahara à travers l’ouverture de leurs représentations consulaires dans cette région du Maroc qui aspire désormais à devenir la porte du Maroc vers sa profondeur africaine. Ces pays sont la Côte d’Ivoire, le Gabon, la Gambie, Sao Tomé-et-Principe, la Centrafrique et la République des Comores.
Une cascade d’ouvertures de consulats réparties entre Laâyoune et Dakhla, qui a obligé les ennemis de l’intégrité territoriale du Royaume à sortir de leurs terriers et à tomber les masques. C’est le cas notamment de l’Algérie qui s’est toujours cachée derrière un faux statut de pays observateur et dont l’implication directe dans ce conflit qu’elle a elle-même fomenté est désormais une évidence.
En effet, en plus du rappel de ses ambassadeurs dans certains des pays africains amis qui, en application de leur pleine souveraineté décisionnelle, ont décidé d’ouvrir leurs consulats au Sahara marocain, le voisin de l’Est a multiplié les manouvres et les communiqués dénonciateurs à l’encontre de ces pays, se montrant ainsi plus séparatiste que les séparatistes.
Cette décision permettra de promouvoir les relations bilatérales de longue date qui existent entre le Liberia et le Maroc, a soutenu le chef de la diplomatie libérienne. «Dès la semaine prochaine, toutes les formalités seront effectuées et je reviendrai pour l’ouverture du consulat», a-t-il assuré. Pour sa part, M. Bourita a exprimé les remerciements du Maroc au Liberia pour son soutien clair et constant à la marocanité du Sahara, aussi bien au niveau des organisations régionales qu’internationales. «Le Liberia a toujours été un soutien fiable du Maroc dans tous ses combats diplomatiques visant à préserver son intégrité territoriale», a affirmé M. Bourita.
Le Liberia vient ainsi s’ajouter à la longue liste de pays qui ont exprimé leur soutien à la marocanité du Sahara à travers l’ouverture de leurs représentations consulaires dans cette région du Maroc qui aspire désormais à devenir la porte du Maroc vers sa profondeur africaine. Ces pays sont la Côte d’Ivoire, le Gabon, la Gambie, Sao Tomé-et-Principe, la Centrafrique et la République des Comores.
Une cascade d’ouvertures de consulats réparties entre Laâyoune et Dakhla, qui a obligé les ennemis de l’intégrité territoriale du Royaume à sortir de leurs terriers et à tomber les masques. C’est le cas notamment de l’Algérie qui s’est toujours cachée derrière un faux statut de pays observateur et dont l’implication directe dans ce conflit qu’elle a elle-même fomenté est désormais une évidence.
En effet, en plus du rappel de ses ambassadeurs dans certains des pays africains amis qui, en application de leur pleine souveraineté décisionnelle, ont décidé d’ouvrir leurs consulats au Sahara marocain, le voisin de l’Est a multiplié les manouvres et les communiqués dénonciateurs à l’encontre de ces pays, se montrant ainsi plus séparatiste que les séparatistes.
(avec MAP)