Si les supporters de l’Ittihad de Tanger ne firent pas le déplacement à Khouribga pour encourager leur club en raison d’une décision des autorités locales qui a interdit tout déplacement du public club visiteur suite aux incidents graves et agissements vandales de certains ultras casablancais à la fin du match RCOZ-RCA, les supporters du Rapide Club d’Oued Zem n’ont pas été nombreux pour soutenir leur club dans ses moments difficiles, leur RCOZ qui continue de s’accrocher à l’espoir si minime soit-il de sauver sa saison.
Ainsi, le public de la cité martyre n’a cessé à aucun moment d’exprimer son mécontentement à cause d’une gestion des affaires du club jugée aléatoire et entachée d’excès d’improvisations.
En effet, le président du Rapide d’Oued Zem s’embourba cette saison dans la valse des entraineurs dont trois nationaux et finalement, il vira vers l’option de l’entraineur européen, le Suisse Arena Guglielmo, croyant peut-être qu’il aurait une baguette magique. C’est pour ces raisons et tant d’autres que les supporters du RCOZ indexent la mauvaise gestion du club et surtout les recrutements aléatoires, en vrac et sans profils appropriés.
Jamal Belbassri siffla donc le coup d’envoi à ce duel qui s’annonçait musclé entre un Rapide d’Arena qui continue d’attendre un miracle et qui y croit encore et un Ittihad de Benali qui est venu à Khouribga défier le sort des nuls dont la série des 3 derniers concédés.
Durant la première période, la partie se joua surtout dans le milieu de terrain et les occasions de but étaient rares car chaque coach a renforcé ses arrière-gardes en optant pour les contre-attaques et l’effet surprise. La précipitation y était aussi de mise dans les deux camps tellement les rares occasions de but sont ratées de manière lamentable et exaspérante pour le peu de public qui fit le déplacement.
Après la pause, les locaux tentèrent de hausser le rythme de jeu et de presser dans le camp tangérois, mais ces derniers réagirent très vite à ce pressing en multipliant les offensives et encore une fois les excès de précipitations et les déficits en concentration sévirent dans les deux camps.
Et Mohamed Boujad, le keeper oued-zemi, fut à plusieurs reprises contraint à jouer le rôle de libéro tellement les hommes d’Arena se voulurent plus offensifs et juste à la 74ème minute et sur l’une de ces multiples offensives, le Rapide réussit à ouvrir le score des pieds de Hicham Marchad. Les vives contestations des Tangérois n’aboutirent à rien et Jamal Belbassri valida le but et le match de s’enflammer de plus belle jusqu’aux ultimes secondes de la partie.
Le Rapide n’a pas raté cette fois-ci l’opportunité de glaner les trois points de la victoire pour plus d’espoir et au coup de sifflet final, les hommes d’Arena Guglielmo manifestèrent leur vive joie, celle de continuer de croire en un coup de sort salvateur, surtout que la chance leur a souri durant ce match où la transversale de Mohamed Boujad a tremblé trois fois.
Tant mieux pour un RCOZ qui a souffert depuis le début de la saison, souffert de mauvais résultats, mais aussi d’une gestion sans profil professionnel aucun. Souhaitons quand même au club des Ultras Martyrs plus de chance pour les prochaines rencontres !
Ainsi, le public de la cité martyre n’a cessé à aucun moment d’exprimer son mécontentement à cause d’une gestion des affaires du club jugée aléatoire et entachée d’excès d’improvisations.
En effet, le président du Rapide d’Oued Zem s’embourba cette saison dans la valse des entraineurs dont trois nationaux et finalement, il vira vers l’option de l’entraineur européen, le Suisse Arena Guglielmo, croyant peut-être qu’il aurait une baguette magique. C’est pour ces raisons et tant d’autres que les supporters du RCOZ indexent la mauvaise gestion du club et surtout les recrutements aléatoires, en vrac et sans profils appropriés.
Jamal Belbassri siffla donc le coup d’envoi à ce duel qui s’annonçait musclé entre un Rapide d’Arena qui continue d’attendre un miracle et qui y croit encore et un Ittihad de Benali qui est venu à Khouribga défier le sort des nuls dont la série des 3 derniers concédés.
Durant la première période, la partie se joua surtout dans le milieu de terrain et les occasions de but étaient rares car chaque coach a renforcé ses arrière-gardes en optant pour les contre-attaques et l’effet surprise. La précipitation y était aussi de mise dans les deux camps tellement les rares occasions de but sont ratées de manière lamentable et exaspérante pour le peu de public qui fit le déplacement.
Après la pause, les locaux tentèrent de hausser le rythme de jeu et de presser dans le camp tangérois, mais ces derniers réagirent très vite à ce pressing en multipliant les offensives et encore une fois les excès de précipitations et les déficits en concentration sévirent dans les deux camps.
Et Mohamed Boujad, le keeper oued-zemi, fut à plusieurs reprises contraint à jouer le rôle de libéro tellement les hommes d’Arena se voulurent plus offensifs et juste à la 74ème minute et sur l’une de ces multiples offensives, le Rapide réussit à ouvrir le score des pieds de Hicham Marchad. Les vives contestations des Tangérois n’aboutirent à rien et Jamal Belbassri valida le but et le match de s’enflammer de plus belle jusqu’aux ultimes secondes de la partie.
Le Rapide n’a pas raté cette fois-ci l’opportunité de glaner les trois points de la victoire pour plus d’espoir et au coup de sifflet final, les hommes d’Arena Guglielmo manifestèrent leur vive joie, celle de continuer de croire en un coup de sort salvateur, surtout que la chance leur a souri durant ce match où la transversale de Mohamed Boujad a tremblé trois fois.
Tant mieux pour un RCOZ qui a souffert depuis le début de la saison, souffert de mauvais résultats, mais aussi d’une gestion sans profil professionnel aucun. Souhaitons quand même au club des Ultras Martyrs plus de chance pour les prochaines rencontres !
