Incroyable mais vrai: l’IRT, avec ses problèmes, sa crise financière, son interdiction des recrutements, ses footballeurs résiliés, son échec de trouver un président, a battu le champion du Maroc le Raja 3 buts (Harrak 5ème et 10ème minutes et Rhabra 44ème mn) à 1 (Bouzouk 77ème mn) pour le compte de la deuxième journée.
Encore une fois, l’équipe s’est déplacée à l’extérieur pour recevoir son adversaire. Au stade Saniat Rmel de Tétouan comme la saison écoulée et à huis clos comme toujours, les poulains de l’entraineur Tayr qui est à féliciter pour son approche technique sur le terrain, ont vaincu et convaincu malheureusement devant des gradins vides. Et de quelle manière !
Une formation des grands jours avec un Ali Harrak, auteur de deux jolis buts en vedette, un Rhabra en super forme, une défense sûre et infranchissable avec un Jorfi et un Elezz intraitables dans les balles aériennes et un Benachour un goal avec des parades spectaculaires, ont gratifié les téléspectateurs non seulement du nord mais de tout le Maroc.
Heureusement, il y avait cette transmission en direct à la télévision, sinon l’évolution de l’effectif joueurs IRT aurait passé inaperçue.
A vrai dire, le score enregistré au tableau électronique ne reflète aucunement la physionomie de la rencontre dont la domination était bien équilibrée.
Une mi-temps pour chaque formation et d’un coté comme de l’autre, un ou deux buts supplémentaires auraient pu être marqués, ce qui explique que la partie était ouverte de bout en bout. Un autre but de Ghabra à la 40ème minute était annulé injustement : accordé par l’arbitre qui était tout près de l’action puis refusé par la VAR pour une faute imaginaire sur Zniti.
En deuxième mi-temps, les Rajaouis étaient meilleurs et méritaient mieux. Ils jouaient le tout pour le tout et ils étaient dangereux avec les centres et les tirs de loin.
Avec beaucoup de retard, leur attaquant a réduit le score donnant l’espoir de l’égalisation.
Très intelligents, les Tangérois se sont reliés en défense d’une façon bien organisée mais avec des contre-attaques qui semaient la panique.
Rahimi aurait pu obtenir le deuxième but d’un puissant tir dans les 18 mètres devant un excellent Benachour qui déviait le ballon en corner. Le meilleur acteur de la zone verdoyante du Saniat Rmel fut sans aucun doute le portier de l’IRT Badredine Benachour, l’homme du match qui a sauvé son équipe.
Que dire de ce nouveau groupe du manager Tayr, un groupe privé des nouvelles recrues, des subventions, du public, du stade ? Rien que des félicitations pour le courage de tous les footballeurs.
Pour la première fois dans l’histoire du club, il n’y a pas eu de recrue : ce qui semble la bonne solution pour la constitution de l’ossature de l’équipe.
Selon le staff technique, le recours aux jeunes espoirs des juniors sera indispensable surtout en cas de blessures.
Match d’un bon niveau technique. Victoire méritée de l’IRT qui semble sur l’excellente voie avec deux victoires pour deux matchs.
Encore une fois, l’équipe s’est déplacée à l’extérieur pour recevoir son adversaire. Au stade Saniat Rmel de Tétouan comme la saison écoulée et à huis clos comme toujours, les poulains de l’entraineur Tayr qui est à féliciter pour son approche technique sur le terrain, ont vaincu et convaincu malheureusement devant des gradins vides. Et de quelle manière !
Une formation des grands jours avec un Ali Harrak, auteur de deux jolis buts en vedette, un Rhabra en super forme, une défense sûre et infranchissable avec un Jorfi et un Elezz intraitables dans les balles aériennes et un Benachour un goal avec des parades spectaculaires, ont gratifié les téléspectateurs non seulement du nord mais de tout le Maroc.
Heureusement, il y avait cette transmission en direct à la télévision, sinon l’évolution de l’effectif joueurs IRT aurait passé inaperçue.
A vrai dire, le score enregistré au tableau électronique ne reflète aucunement la physionomie de la rencontre dont la domination était bien équilibrée.
Une mi-temps pour chaque formation et d’un coté comme de l’autre, un ou deux buts supplémentaires auraient pu être marqués, ce qui explique que la partie était ouverte de bout en bout. Un autre but de Ghabra à la 40ème minute était annulé injustement : accordé par l’arbitre qui était tout près de l’action puis refusé par la VAR pour une faute imaginaire sur Zniti.
En deuxième mi-temps, les Rajaouis étaient meilleurs et méritaient mieux. Ils jouaient le tout pour le tout et ils étaient dangereux avec les centres et les tirs de loin.
Avec beaucoup de retard, leur attaquant a réduit le score donnant l’espoir de l’égalisation.
Très intelligents, les Tangérois se sont reliés en défense d’une façon bien organisée mais avec des contre-attaques qui semaient la panique.
Rahimi aurait pu obtenir le deuxième but d’un puissant tir dans les 18 mètres devant un excellent Benachour qui déviait le ballon en corner. Le meilleur acteur de la zone verdoyante du Saniat Rmel fut sans aucun doute le portier de l’IRT Badredine Benachour, l’homme du match qui a sauvé son équipe.
Que dire de ce nouveau groupe du manager Tayr, un groupe privé des nouvelles recrues, des subventions, du public, du stade ? Rien que des félicitations pour le courage de tous les footballeurs.
Pour la première fois dans l’histoire du club, il n’y a pas eu de recrue : ce qui semble la bonne solution pour la constitution de l’ossature de l’équipe.
Selon le staff technique, le recours aux jeunes espoirs des juniors sera indispensable surtout en cas de blessures.
Match d’un bon niveau technique. Victoire méritée de l’IRT qui semble sur l’excellente voie avec deux victoires pour deux matchs.