Trois entraineurs d’affilée notamment Fouad Sahabi, Abdallah Haddoumi et le Tunisien Mounir Chebil, quatre défaites devant le HUSA, le WAC, le CAYB et le MAS, deux nuls devant le SCCM et l’OCS et seulement deux points et un seul but en six journées, tel est le bilan indéniablement alarmant du Rapide Club d’Oued Zem en ce début de saison. Dans sa dernière déclaration à la presse, Mounir Chebil affirma qu’il a profité de cette petite trêve pour multiplier les séances, intensifier les entrainements et être sur tous les détails pour gagner ce match contre le MAS, monter d’un cran au classement général et donc réaliser une meilleure relance dont l’impact moral serait indubitable surtout que le RCOZ devrait éventuellement jouer 5 matches en seulement 17 jours.
Or, il fallait compter sans un MAS bien aguerri qui n’était pas venu à Khouribga pour subir, mais pour glaner le maximum de points et surtout pour confirmer son retour en force sous la houlette d’un autre tunisien Abdelhaye Soltane. En effet, dès le coup d’envoi donné par Nordine Jaâfafi, les premières et réelles menaces furent massistes et juste sur l’un des multiples pressings, Mohamed Al Fakih et des 30 mètres sur balle arrêtée, ouvrit le score à la 20ème minute sur un tir de plein pied qui trompa la vigilance du gardien Mehdi Ouaya. Et alors qu’on attendait une réaction potentielle des locaux, elle ne fut que mitigée et on constata même une flagrante confusion dans les rangs, ce qui n’augurait rien de meilleur.
Pire encore, aux ultimes secondes de la fin de la première période, l’arbitre Jaâfari recourut à la VAR pour décider d’un coup de pied de but pour faute sur un attaquant fassi dans la surface de réparation. Le visionnage de la VAR dura plus de trois minutes et la décision du penalty fut sans appel, penalty qui fut réalisé par ce pied même qui marqua le premier but, celui de Mohamed Al Fakir. Le peu de temps qui resta ne suffit pas pour au moins réduire le score et on constatait déjà de la panique dans les rangs des hommes de Chebil. Il fallait donc attendre la deuxième période pour revenir dans le score, mais sans être pessimiste, il manquait beaucoup de détails dans le développement de jeu des Oued-zemis.
Au retour des vestiaires, Mounir Chebil opéra quelques changements pour plus de punch dans sa ligne d’attaque, mais plus le temps passait, plus l’espoir d’une certaine remontada se dissipait dans l’esprit des coéquipiers de Hibour surtout que pour préserver cette précieuse victoire, Abdelhaye Soltane fit renforcer sa ligne défensive en remplaçant des attaquants par des défenseurs ou médians.
Du côté RCOZ et vers le dernier quart du match, on constata un flagrant manque de fraicheur physique et cela n’a d’explication que dans la moyenne d’âge des hommes de Chebil estimée à 29 ans et cela constitue aussi une vive alerte…
Or, il fallait compter sans un MAS bien aguerri qui n’était pas venu à Khouribga pour subir, mais pour glaner le maximum de points et surtout pour confirmer son retour en force sous la houlette d’un autre tunisien Abdelhaye Soltane. En effet, dès le coup d’envoi donné par Nordine Jaâfafi, les premières et réelles menaces furent massistes et juste sur l’un des multiples pressings, Mohamed Al Fakih et des 30 mètres sur balle arrêtée, ouvrit le score à la 20ème minute sur un tir de plein pied qui trompa la vigilance du gardien Mehdi Ouaya. Et alors qu’on attendait une réaction potentielle des locaux, elle ne fut que mitigée et on constata même une flagrante confusion dans les rangs, ce qui n’augurait rien de meilleur.
Pire encore, aux ultimes secondes de la fin de la première période, l’arbitre Jaâfari recourut à la VAR pour décider d’un coup de pied de but pour faute sur un attaquant fassi dans la surface de réparation. Le visionnage de la VAR dura plus de trois minutes et la décision du penalty fut sans appel, penalty qui fut réalisé par ce pied même qui marqua le premier but, celui de Mohamed Al Fakir. Le peu de temps qui resta ne suffit pas pour au moins réduire le score et on constatait déjà de la panique dans les rangs des hommes de Chebil. Il fallait donc attendre la deuxième période pour revenir dans le score, mais sans être pessimiste, il manquait beaucoup de détails dans le développement de jeu des Oued-zemis.
Au retour des vestiaires, Mounir Chebil opéra quelques changements pour plus de punch dans sa ligne d’attaque, mais plus le temps passait, plus l’espoir d’une certaine remontada se dissipait dans l’esprit des coéquipiers de Hibour surtout que pour préserver cette précieuse victoire, Abdelhaye Soltane fit renforcer sa ligne défensive en remplaçant des attaquants par des défenseurs ou médians.
Du côté RCOZ et vers le dernier quart du match, on constata un flagrant manque de fraicheur physique et cela n’a d’explication que dans la moyenne d’âge des hommes de Chebil estimée à 29 ans et cela constitue aussi une vive alerte…
