Avec ou sans public ? La situation était bien confuse aux alentours du Grand Stade de Tanger où plus de vingt mille spectateurs étaient prêts à payer leur billet d’entrée pour assister à un traditionnel classique du football marocain IRT-FAR.
Les supporters tangérois voulaient donner un appui aussi bien aux footballeurs qu’aux membres volontaires de la commission provisoire.
L’IRT en crise de gestion, personne n’en voulait parler. Il fallait attendre au moins deux rencontres avant de vivre cette assemblée générale extraordinaire pour connaitre le nouveau président.
Loin de tout tapage, l’entraineur et ses joueurs ont préparé sérieusement le match .Deux écoles étaient confrontées : d’un côté, il y avait le football français, de l’autre côté il y avait le football belge. La similitude dans le système consistait à la récupération fréquente du ballon et à la bonne occupation du terrain.
Les locaux comme les visiteurs voulaient la victoire. Jeu ouvert dans tous les camps. Comme toujours, Hicham Lemjhed et ses coéquipiers cherchaient partout l’ailier Hamoudane qui constituait le grand danger. Aucune supériorité sur le terrain. Les formations locale et visiteuse se valaient sur le plan technique et étaient bien motivées sur le plan des primes pour remporter la victoire.
Comme l’ont déclaré leurs entraineurs, il n’était pas question de jouer le nul car seule la victoire importait.
Ainsi, il y avait le jeu offensif dans les tactiques adoptées. Avec l’arrivée du coach belge et du coach français au football marocain, beaucoup de choses ont changé surtout dans les rangs militaires.
A vrai dire, à partir de la 16ème minute, les visiteurs étaient supérieurs sur le terrain. Avec un peu plus de concentration et de chance, ils auraient aggravé le score final. Le 0-2 ne reflète aucunement la physionomie de la partie qui était dominée de bout en bout devant des Tangérois absents surtout sur le plan offensif.
Sans aucun doute, la double erreur Konate-Lemjehed fut la cause de la débâcle des poulains de Bernard Casoni.
En effet, une sortie hasardeuse du portier de l’IRT avec une main volontaire provoqua l’expulsion et la réduction à 10 des locaux. On jouait à peine quinze minutes. Le remplacement du gardien de but avec la sortie du demi-centre Benali provoqua un grand désordre.
Consciente de la faiblesse numérique de Hamoudane et de ses coéquipiers, l’équipe des FAR exerça une nette défense. Bonne résistance des Tangérois qui voulaient à tout prix préserver le nul. A la 6ème minute après les 45 réglementaires, Khafi devait ouvrir le score 0-1 trompant la défense.
En deuxième mi-temps, il y avait le même scénario : attaque des FAR et défense de l’IRT. Avec un milieu du terrain décevant, il était difficile pour Axil et Hamoudane la récupération du ballon pour créer le danger.
Très conservateurs pour faiblesse numérique, les Tangérois ne pouvaient rien faire. Aucune occasion de but durant les 80 minutes de jeu.
A la 81ème minute, une action de Hamoudane qui trompait la vigilance de deux arrières, aurait pu donner l’égalisation alors qu’il avait un face-à-face avec le keeper militaire. Tir dévié incompréhensiblement. Cinq minutes plus tard, le même joueur rata une deuxième occasion dans une excellente position.
A la 91ème minute, un penalty douteux avec l’intervention de la VAR fut sifflé par l’arbitre Sabry sanctionnant une faute de Jorfi. Slim le transforma magistralement obtenant le 0-2. Victoire méritée des FAR.
Les supporters tangérois voulaient donner un appui aussi bien aux footballeurs qu’aux membres volontaires de la commission provisoire.
L’IRT en crise de gestion, personne n’en voulait parler. Il fallait attendre au moins deux rencontres avant de vivre cette assemblée générale extraordinaire pour connaitre le nouveau président.
Loin de tout tapage, l’entraineur et ses joueurs ont préparé sérieusement le match .Deux écoles étaient confrontées : d’un côté, il y avait le football français, de l’autre côté il y avait le football belge. La similitude dans le système consistait à la récupération fréquente du ballon et à la bonne occupation du terrain.
Les locaux comme les visiteurs voulaient la victoire. Jeu ouvert dans tous les camps. Comme toujours, Hicham Lemjhed et ses coéquipiers cherchaient partout l’ailier Hamoudane qui constituait le grand danger. Aucune supériorité sur le terrain. Les formations locale et visiteuse se valaient sur le plan technique et étaient bien motivées sur le plan des primes pour remporter la victoire.
Comme l’ont déclaré leurs entraineurs, il n’était pas question de jouer le nul car seule la victoire importait.
Ainsi, il y avait le jeu offensif dans les tactiques adoptées. Avec l’arrivée du coach belge et du coach français au football marocain, beaucoup de choses ont changé surtout dans les rangs militaires.
A vrai dire, à partir de la 16ème minute, les visiteurs étaient supérieurs sur le terrain. Avec un peu plus de concentration et de chance, ils auraient aggravé le score final. Le 0-2 ne reflète aucunement la physionomie de la partie qui était dominée de bout en bout devant des Tangérois absents surtout sur le plan offensif.
Sans aucun doute, la double erreur Konate-Lemjehed fut la cause de la débâcle des poulains de Bernard Casoni.
En effet, une sortie hasardeuse du portier de l’IRT avec une main volontaire provoqua l’expulsion et la réduction à 10 des locaux. On jouait à peine quinze minutes. Le remplacement du gardien de but avec la sortie du demi-centre Benali provoqua un grand désordre.
Consciente de la faiblesse numérique de Hamoudane et de ses coéquipiers, l’équipe des FAR exerça une nette défense. Bonne résistance des Tangérois qui voulaient à tout prix préserver le nul. A la 6ème minute après les 45 réglementaires, Khafi devait ouvrir le score 0-1 trompant la défense.
En deuxième mi-temps, il y avait le même scénario : attaque des FAR et défense de l’IRT. Avec un milieu du terrain décevant, il était difficile pour Axil et Hamoudane la récupération du ballon pour créer le danger.
Très conservateurs pour faiblesse numérique, les Tangérois ne pouvaient rien faire. Aucune occasion de but durant les 80 minutes de jeu.
A la 81ème minute, une action de Hamoudane qui trompait la vigilance de deux arrières, aurait pu donner l’égalisation alors qu’il avait un face-à-face avec le keeper militaire. Tir dévié incompréhensiblement. Cinq minutes plus tard, le même joueur rata une deuxième occasion dans une excellente position.
A la 91ème minute, un penalty douteux avec l’intervention de la VAR fut sifflé par l’arbitre Sabry sanctionnant une faute de Jorfi. Slim le transforma magistralement obtenant le 0-2. Victoire méritée des FAR.
