Une première mi-temps décousue mais intéressante
Deux équipes en forme, sans favori au coup d’envoi avec un penalty généreux voire sévère accordé par l’arbitre marocain Jayed à la partie burkinabé à la 15’ raté par Bertrand Traoré ont marqué le premier quart d’heure. Le Burkinabé a vu son ballon s'écraser sur la transversale.
A la 26’ le même, Traoré s’est offert le premier but sur un contre éclair et une transition rapide à trois passes à partir de la surface de réparation burkinabé (1-0).Le reste de la 1ère mi-temps a été à la fois décousu et intéressant du fait que les opportunités n’ont pas manqué mais pas de finalisation. Une première mi-temps avec de grosses occasions ratées par maladresse, manque de précision et de réussite des deux côtés. Les Gabonais étaient à la possession, les Burkinabè avaient l’avantage au score (1-0)
Une deuxième avec un but égalisateur dans le temps additionnel
Les Gabonais ne sont jamais parvenus à retrouver le jeu déployé face au Maroc. C'était un autre Gabon, énervé sans lucidité, sans créativité, sans fluidité et sans percussion. Ils ont eu une grosse occasion sur une erreur défensive à la 63’ qu'ils n'ont pas concrétisée.
A la 66’, une excellente décision de l’arbitre Jayed : l’expulsion juste et justifiée du défenseur gabonais d’’Obissa pour cumul de deux cartons, le deuxième pour une faute tactique. Réduits à dix et déjà en difficultés avant l’expulsion, les Gabonais ne sont jamais arrivés à revenir dans la partie face à des Burkinabé disciplinés défensivement, dangereux sur les contre mais imprécis en finition.
Dans les 10 dernières minutes, on a joué en roue libre, physiquement cramés, cuits, avec d'innombrables opportunités surtout burkinabé lamentablement gâchées. Ils ont été punis dans le temps additionnel : les Gabonais ont arraché l’égalisation in-extremis (90+2) grâce à une tête de Manga dont le ballon a été prolongé par Ocamba (CSC) pour passer aux prolongations. (1-1)
Les Etalons qualifiés après les prolongations et les tirs au but
Épuisés, les jambes lourdes, les visages marqués et les traits tirés, les joueurs ont vécu difficilement les prolongations. Seul un exploit individuel pouvait faire la différence. Pourtant, les occasions n’ont pas manqué. Mais il a fallu passer par une longue et incroyable séance de tirs au but pour déterminer le vainqueur et qualifié en quart : le Burkina Faso.
Deux équipes en forme, sans favori au coup d’envoi avec un penalty généreux voire sévère accordé par l’arbitre marocain Jayed à la partie burkinabé à la 15’ raté par Bertrand Traoré ont marqué le premier quart d’heure. Le Burkinabé a vu son ballon s'écraser sur la transversale.
A la 26’ le même, Traoré s’est offert le premier but sur un contre éclair et une transition rapide à trois passes à partir de la surface de réparation burkinabé (1-0).Le reste de la 1ère mi-temps a été à la fois décousu et intéressant du fait que les opportunités n’ont pas manqué mais pas de finalisation. Une première mi-temps avec de grosses occasions ratées par maladresse, manque de précision et de réussite des deux côtés. Les Gabonais étaient à la possession, les Burkinabè avaient l’avantage au score (1-0)
Une deuxième avec un but égalisateur dans le temps additionnel
Les Gabonais ne sont jamais parvenus à retrouver le jeu déployé face au Maroc. C'était un autre Gabon, énervé sans lucidité, sans créativité, sans fluidité et sans percussion. Ils ont eu une grosse occasion sur une erreur défensive à la 63’ qu'ils n'ont pas concrétisée.
A la 66’, une excellente décision de l’arbitre Jayed : l’expulsion juste et justifiée du défenseur gabonais d’’Obissa pour cumul de deux cartons, le deuxième pour une faute tactique. Réduits à dix et déjà en difficultés avant l’expulsion, les Gabonais ne sont jamais arrivés à revenir dans la partie face à des Burkinabé disciplinés défensivement, dangereux sur les contre mais imprécis en finition.
Dans les 10 dernières minutes, on a joué en roue libre, physiquement cramés, cuits, avec d'innombrables opportunités surtout burkinabé lamentablement gâchées. Ils ont été punis dans le temps additionnel : les Gabonais ont arraché l’égalisation in-extremis (90+2) grâce à une tête de Manga dont le ballon a été prolongé par Ocamba (CSC) pour passer aux prolongations. (1-1)
Les Etalons qualifiés après les prolongations et les tirs au but
Épuisés, les jambes lourdes, les visages marqués et les traits tirés, les joueurs ont vécu difficilement les prolongations. Seul un exploit individuel pouvait faire la différence. Pourtant, les occasions n’ont pas manqué. Mais il a fallu passer par une longue et incroyable séance de tirs au but pour déterminer le vainqueur et qualifié en quart : le Burkina Faso.