Le Sénégal est enfin Champion. Les Lions de la Téranga ont gagné la finale de l'édition 2021 de la CAN aux tirs au but (4-2). Ils ont été dominateurs. Ils ont raté un penalty. Ils ont raté plusieurs occasions. Ils ont surtout buté sur un grand gardien égyptien qui les a écœurés jusqu'au dénouement final : le sacre.
Mané battu par Gabasky en première mi-temps
Le Sénégal aurait pu être au devant dès la 5' lors du premier temps fort du match. Mais le penalty tiré par Mané a été axial et mal frappé, permettant à Gabasky de réaliser un arrêt exceptionnel relançant le match mentalement en faveur de ses coéquipiers.
Mohamed Salah avait donné à son gardien un conseil sur la frappe de son partenaire à Liverpool. Un conseil finalement payant. Voyant cette scène et ne l'appréciant pas, Mané s’est invité dans la conversation pour indiquer à Gabasky le côté droit des poteaux.
Domination des lions, quatre autres grosses occasions grâce à la percussion d’’Ismaila Sarre et au travail de sape de Mané.
Deux opportunités égyptiennes menées par Salah. Celle de la 42’ était la plus dangereuse mais l’envolée de Mendy a dévié le ballon en corner suite à une frappe dans un angle très fermé.
Les Egyptiens étaient plutôt dans leur habituel système: casser le rythme de l’adversaire, attendre la surprise confiant leur destin à Salah tissant lentement leur toile. Les Sénégalais étaient plus présents offensivement sans concrétiser.
Les Sénégalais à l’attaque, les Egyptiens à la défense avec un grand Gabasky jusqu’aux prolongations
Après la pause, le même scénario : Des Lions à l'attaque, des Pharaons à la défense. Et autant Mohamed Salah était fort en attaque, autant Gabasky ramassait tout et ne laissait rien passer face aux assauts répétés des Lions.
Sa défense, également, bien que très sollicitée, tenait le coup et défendait bec et ongle tout en profitant des arrêts du jeu pour ralentir le rythme.
75’. Un surplus d'énergie égyptien a failli être payant. Sur un centre, de la tête, Merouane en extension, n’a pas été loin de trouver les cadres.
Le match pouvait basculer alors qu'on se dirigeait vers la fin du temps réglementaire. On devenait moins précis dans la transmission et plus prudent dans la récupération. Il ne fallait pas se tromper. Il a fallu passer par les prolongations durant lesquelles les Sénégalais ont essayé d'aller chercher la victoire mais Gabasky était là pour les empêcher grâce à des arrêts magnifiques. Les Egyptiens ont réussi leur objectif: parvenir aux les tirs au but qui ont souri à Mané et ses coéquipiers.
Mané battu par Gabasky en première mi-temps
Le Sénégal aurait pu être au devant dès la 5' lors du premier temps fort du match. Mais le penalty tiré par Mané a été axial et mal frappé, permettant à Gabasky de réaliser un arrêt exceptionnel relançant le match mentalement en faveur de ses coéquipiers.
Mohamed Salah avait donné à son gardien un conseil sur la frappe de son partenaire à Liverpool. Un conseil finalement payant. Voyant cette scène et ne l'appréciant pas, Mané s’est invité dans la conversation pour indiquer à Gabasky le côté droit des poteaux.
Domination des lions, quatre autres grosses occasions grâce à la percussion d’’Ismaila Sarre et au travail de sape de Mané.
Deux opportunités égyptiennes menées par Salah. Celle de la 42’ était la plus dangereuse mais l’envolée de Mendy a dévié le ballon en corner suite à une frappe dans un angle très fermé.
Les Egyptiens étaient plutôt dans leur habituel système: casser le rythme de l’adversaire, attendre la surprise confiant leur destin à Salah tissant lentement leur toile. Les Sénégalais étaient plus présents offensivement sans concrétiser.
Les Sénégalais à l’attaque, les Egyptiens à la défense avec un grand Gabasky jusqu’aux prolongations
Après la pause, le même scénario : Des Lions à l'attaque, des Pharaons à la défense. Et autant Mohamed Salah était fort en attaque, autant Gabasky ramassait tout et ne laissait rien passer face aux assauts répétés des Lions.
Sa défense, également, bien que très sollicitée, tenait le coup et défendait bec et ongle tout en profitant des arrêts du jeu pour ralentir le rythme.
75’. Un surplus d'énergie égyptien a failli être payant. Sur un centre, de la tête, Merouane en extension, n’a pas été loin de trouver les cadres.
Le match pouvait basculer alors qu'on se dirigeait vers la fin du temps réglementaire. On devenait moins précis dans la transmission et plus prudent dans la récupération. Il ne fallait pas se tromper. Il a fallu passer par les prolongations durant lesquelles les Sénégalais ont essayé d'aller chercher la victoire mais Gabasky était là pour les empêcher grâce à des arrêts magnifiques. Les Egyptiens ont réussi leur objectif: parvenir aux les tirs au but qui ont souri à Mané et ses coéquipiers.
