Un match serré en première mi-temps
Deux occasions dans le premier quart d’heure entre deux barragistes au Mondial et candidats au quart de la CAN. Puis rien. Une équipe tunisienne, bien cadenassée avec un bloc très bas et des joueurs très solides et très appliqués, qui a mis en difficulté le jeu nigérian et a privé les Nigérians de leur rapidité et explosivité. Les Super Eagles n’arrivaient pas à mettre la main sur le match et faire le jeu.
Les Tunisiens ralentissaient le jeu lui donnant un faux rythme de façon à bloquer la circulation du ballon autour de la ligne médiane et contrôler les transitions les rendant moins percutantes.
La conséquence: une première période fermée et sans intensité ni percussion; ce qui faisait les affaires des Tunisiens diminués par le covid19. En tout et pour tout, il y a eu deux occasions, une pour la Tunisie et une pour le Nigéria.
Un but surprise et une grosse combativité tunisienne en deuxième
Puis la surprise est venue de Msakni qui a surpris le gardien d’un tir vicieux sur une frappe puissante finissant au fond des filets à la 47’ mettant son équipe en position favorable. Malgré le but encaissé, les Nigérians n’arrivaient pas à trouver de solutions face à la solidité défensive des Tunisiens combatifs, solides et solidaires.
A la 65’, le Nigérian Iwobi, six minutes après avoir rejoint le jeu, s'est fait expulser pour une semelle appuyée compliquant la situation de son équipe obligée d’aller chercher l'égalisation en infériorité numérique. Mais ils n’y sont parvenus se faisant éliminés alors qu’ils étaient donnés grands favoris.
Les Tunisiens attaqués par le covid19, qualifiés par la petite porte, sans convaincre en phase de poules, se sont qualifiés en quart de finale alors qu’on les avait déjà considérés comme éliminés avant même le coup d’envoi. Ce qu’ils ont fait est un grand exploit et une immense surprise. Ils ont marqué puis rien lâché poussant les Super Eagles vers la sortie malgré leur 9points de la phase de poules. Ils affronteront les Burkinabé en quart de finale.
Deux occasions dans le premier quart d’heure entre deux barragistes au Mondial et candidats au quart de la CAN. Puis rien. Une équipe tunisienne, bien cadenassée avec un bloc très bas et des joueurs très solides et très appliqués, qui a mis en difficulté le jeu nigérian et a privé les Nigérians de leur rapidité et explosivité. Les Super Eagles n’arrivaient pas à mettre la main sur le match et faire le jeu.
Les Tunisiens ralentissaient le jeu lui donnant un faux rythme de façon à bloquer la circulation du ballon autour de la ligne médiane et contrôler les transitions les rendant moins percutantes.
La conséquence: une première période fermée et sans intensité ni percussion; ce qui faisait les affaires des Tunisiens diminués par le covid19. En tout et pour tout, il y a eu deux occasions, une pour la Tunisie et une pour le Nigéria.
Un but surprise et une grosse combativité tunisienne en deuxième
Puis la surprise est venue de Msakni qui a surpris le gardien d’un tir vicieux sur une frappe puissante finissant au fond des filets à la 47’ mettant son équipe en position favorable. Malgré le but encaissé, les Nigérians n’arrivaient pas à trouver de solutions face à la solidité défensive des Tunisiens combatifs, solides et solidaires.
A la 65’, le Nigérian Iwobi, six minutes après avoir rejoint le jeu, s'est fait expulser pour une semelle appuyée compliquant la situation de son équipe obligée d’aller chercher l'égalisation en infériorité numérique. Mais ils n’y sont parvenus se faisant éliminés alors qu’ils étaient donnés grands favoris.
Les Tunisiens attaqués par le covid19, qualifiés par la petite porte, sans convaincre en phase de poules, se sont qualifiés en quart de finale alors qu’on les avait déjà considérés comme éliminés avant même le coup d’envoi. Ce qu’ils ont fait est un grand exploit et une immense surprise. Ils ont marqué puis rien lâché poussant les Super Eagles vers la sortie malgré leur 9points de la phase de poules. Ils affronteront les Burkinabé en quart de finale.
