Il n’y a pas que dans la CAN l’arbitrage dérape. Lundi dernier en Serie A, l’AC Milan a été victime d’une erreur flagrante qui a changé le cours et le résultat du match.
Les Milanais croyaient avoir décroché la victoire face à La Spezia (1-2). On jouait le temps additionnel. Ils ont marqué leur deuxième but, celui de la victoire. L’arbitre, oubliant de laisser l’avantage sur l’action du but, l’a annulé et a accordé un coup franc provoquant l'incompréhension et la colère des Milanais. Quelques instants après, ils ont concédé le deuxième but, celui de la défaite.
L’arbitre s'est rendu immédiatement, avant même le tir du coup franc, de son erreur mais c’était trop tard. Il a fondu en larmes dans les vestiaires présentant ses excuses aux Milanais venus le consoler et le soutenir. L’Association des arbitres italiens a également présenté ses excuses à l’AC Milan, mais le mal était déjà fait.
Comme quoi, les erreurs d’arbitrage, si graves qu’elles soient, font partie des aléas du jeu. Elles n’ont n’ont pas de nationalité. Elles peuvent avoir lieu n’importe où!
Les Milanais croyaient avoir décroché la victoire face à La Spezia (1-2). On jouait le temps additionnel. Ils ont marqué leur deuxième but, celui de la victoire. L’arbitre, oubliant de laisser l’avantage sur l’action du but, l’a annulé et a accordé un coup franc provoquant l'incompréhension et la colère des Milanais. Quelques instants après, ils ont concédé le deuxième but, celui de la défaite.
L’arbitre s'est rendu immédiatement, avant même le tir du coup franc, de son erreur mais c’était trop tard. Il a fondu en larmes dans les vestiaires présentant ses excuses aux Milanais venus le consoler et le soutenir. L’Association des arbitres italiens a également présenté ses excuses à l’AC Milan, mais le mal était déjà fait.
Comme quoi, les erreurs d’arbitrage, si graves qu’elles soient, font partie des aléas du jeu. Elles n’ont n’ont pas de nationalité. Elles peuvent avoir lieu n’importe où!