En l'absence de visibilité pour 2020, la majorité des entreprises exportatrices répondantes à l’enquête de la CGEM (57,8%) entrevoit une reprise en 2021, contre 36,9% courant 2ème semestre 2020. La reprise du chiffre d'affaires des exportateurs est, quant à elle, similaire à la tendance globale. Les exportateurs sont un peu moins pessimistes que l'ensemble des entreprises répondantes.
S’agissant du délai moyen de paiement supplémentaire, tous secteurs confondus, a augmenté à 52 jours, ressort-il de l’enquête. Cette hausse a impacté la liquidité et la solvabilité des entreprises. Le patronat souligne également que 19,7% des entreprises sondées s'attendent à une augmentation de plus de 90 jours, 9,4% de 90 jours, 15,6% de 60 jours, 12,1% de 45 jours, 14,8% de 30 jours, alors que 27,3% des entreprises ont déclaré que les délais de paiement vont se maintenir.
La dégradation des délais de paiement est variable selon les secteurs. L'enseignement a atteint 72 jours, les industries culturelle et créative (66 jours), le bâtiment et travaux publics (BTP) et l'immobilier (58), le commerce (58), le transport et entreposage (56), le tourisme et restauration (54), l'artisanat (52), l'agriculture, sylviculture et pêche (50), les services (50), la santé (49) et les industries manufacturières et extractives (45), précise la même source.
Rappelons qu’après une première édition, qui a permis de sonder 1.876 entreprises, cette deuxième édition du Baromètre a connu la participation de 3.304 entreprises -dont 88,7% de très petites, petites et moyennes entreprises (TPME) et 28,3% opérant à l'export- employant 494.164 salariés. Ladite enquête s'est appuyée sur les mêmes questions que la précédente afin de comparer les projections et de mesurer l'évolution des répercussions de la crise sur l'activité économique. Le découpage sectoriel adopté, quant à lui, respecte la Nomenclature Marocaine des Activités du Haut Commissariat au Plan (HCP).
S’agissant du délai moyen de paiement supplémentaire, tous secteurs confondus, a augmenté à 52 jours, ressort-il de l’enquête. Cette hausse a impacté la liquidité et la solvabilité des entreprises. Le patronat souligne également que 19,7% des entreprises sondées s'attendent à une augmentation de plus de 90 jours, 9,4% de 90 jours, 15,6% de 60 jours, 12,1% de 45 jours, 14,8% de 30 jours, alors que 27,3% des entreprises ont déclaré que les délais de paiement vont se maintenir.
La dégradation des délais de paiement est variable selon les secteurs. L'enseignement a atteint 72 jours, les industries culturelle et créative (66 jours), le bâtiment et travaux publics (BTP) et l'immobilier (58), le commerce (58), le transport et entreposage (56), le tourisme et restauration (54), l'artisanat (52), l'agriculture, sylviculture et pêche (50), les services (50), la santé (49) et les industries manufacturières et extractives (45), précise la même source.
Rappelons qu’après une première édition, qui a permis de sonder 1.876 entreprises, cette deuxième édition du Baromètre a connu la participation de 3.304 entreprises -dont 88,7% de très petites, petites et moyennes entreprises (TPME) et 28,3% opérant à l'export- employant 494.164 salariés. Ladite enquête s'est appuyée sur les mêmes questions que la précédente afin de comparer les projections et de mesurer l'évolution des répercussions de la crise sur l'activité économique. Le découpage sectoriel adopté, quant à lui, respecte la Nomenclature Marocaine des Activités du Haut Commissariat au Plan (HCP).