Dans un communiqué publié par le Bâtonnier du Barreau de Casablanca, Me Hassan Birouaine, le Conseil de l’Ordre de Casablanca a tenu, mercredi 24 courant, sa réunion normale, au Club des avocats à Bouskoura. Au cours de cette réunion, le rapport soumis par Me Mohamed Aghnaj au Bâtonnier, relatif aux cabinets internationaux opérant dans la ville et les infractions y afférentes, a été étudié.
A l’issue du débat, le Conseil a décidé de charger une commission, présidée par le Bâtonnier, afin d’examiner la situation des avocats inscrits au Barreau, impliqués dans l’affaire desdits cabinets, au cas par cas, en partant du rapport étudié. Des investigations concernant les faits relevés contre chacun seront approfondies, à travers tous les moyens possibles, y compris via des auditions, ajoute la même source. Il a été également décidé qu’au bout de 15 jours, un rapport concernant chaque avocat doit être dressé, à la lumière de l’enquête menée.
En outre, le bâtonnier est autorisé à déposer plainte auprès du ministère public et ce, concernant les faits relevés dans le rapport et qui requièrent l’enclenchement de l’action publique contre les “avocats” non inscrits au barreau de Casablanca et qui “exercent des activités prohibées” dans son périmètre, compte tenu de la loi en vigueur.
In fine, le Bâtonnier a tenu, dans son communiqué, à souligner que jusqu’à présent, il n’a engagé aucune procédure disciplinaire à l’encontre d’avocats titulaires ou stagiaires inscrits au Barreau, comme publié dans certains médias et réseaux sociaux.
A l’issue du débat, le Conseil a décidé de charger une commission, présidée par le Bâtonnier, afin d’examiner la situation des avocats inscrits au Barreau, impliqués dans l’affaire desdits cabinets, au cas par cas, en partant du rapport étudié. Des investigations concernant les faits relevés contre chacun seront approfondies, à travers tous les moyens possibles, y compris via des auditions, ajoute la même source. Il a été également décidé qu’au bout de 15 jours, un rapport concernant chaque avocat doit être dressé, à la lumière de l’enquête menée.
En outre, le bâtonnier est autorisé à déposer plainte auprès du ministère public et ce, concernant les faits relevés dans le rapport et qui requièrent l’enclenchement de l’action publique contre les “avocats” non inscrits au barreau de Casablanca et qui “exercent des activités prohibées” dans son périmètre, compte tenu de la loi en vigueur.
In fine, le Bâtonnier a tenu, dans son communiqué, à souligner que jusqu’à présent, il n’a engagé aucune procédure disciplinaire à l’encontre d’avocats titulaires ou stagiaires inscrits au Barreau, comme publié dans certains médias et réseaux sociaux.
