Au cours d'un atelier organisé? vendredi par la Fédération marocaine de l'industrie et de l'innovation pharmaceutique (FMIIP) sur le thème du cannabis, Mohammed El Guerrouj, directeur général de l'Agence nationale de réglementation des activités relatives au cannabis (ANRAC), a répondu aux préoccupations des pharmaciens quant à circuit de vente des compléments alimentaires et des produits cosmétiques.
Mohammed El Guerrouj a fait savoir que ces produits, actuellement en préparation par divers opérateurs, seront strictement distribués via les pharmacies. Il a ajouté que l'ANRAC travaille en étroite collaboration avec la Direction des médicaments et de la pharmacie (DMP) pour définir les modalités de cette distribution, conformément à la loi.
La législation en vigueur stipule clairement que la commercialisation et la distribution des produits à base de cannabis doivent se faire dans des lieux autorisés, principalement les pharmacies, pour les compléments alimentaires et cosmétiques.
El Guerrouj a évoqué le cas d'autres produits à base de CBD, comme la farine, le chocolat, les bonbons et les boissons. La vente de ces produits en pharmacie pourrait nécessiter des équipements supplémentaires, comme des réfrigérateurs, impliquant des coûts additionnels.
Il a également évoqué la nécessité d'un marché stable pour les opérateurs qui souhaitent commercialiser ces produits, précisant que l'ANRAC examine toutes les possibilités, y compris la vente dans des points de vente spécialisés ou en grande surface.
El Guerrouj a conclu en soulignant que toute décision sera prise en concertation avec les parties prenantes.
Mohammed El Guerrouj a fait savoir que ces produits, actuellement en préparation par divers opérateurs, seront strictement distribués via les pharmacies. Il a ajouté que l'ANRAC travaille en étroite collaboration avec la Direction des médicaments et de la pharmacie (DMP) pour définir les modalités de cette distribution, conformément à la loi.
La législation en vigueur stipule clairement que la commercialisation et la distribution des produits à base de cannabis doivent se faire dans des lieux autorisés, principalement les pharmacies, pour les compléments alimentaires et cosmétiques.
El Guerrouj a évoqué le cas d'autres produits à base de CBD, comme la farine, le chocolat, les bonbons et les boissons. La vente de ces produits en pharmacie pourrait nécessiter des équipements supplémentaires, comme des réfrigérateurs, impliquant des coûts additionnels.
Il a également évoqué la nécessité d'un marché stable pour les opérateurs qui souhaitent commercialiser ces produits, précisant que l'ANRAC examine toutes les possibilités, y compris la vente dans des points de vente spécialisés ou en grande surface.
El Guerrouj a conclu en soulignant que toute décision sera prise en concertation avec les parties prenantes.