Le film « La vie me va bien », réalisé par le franco-marocain Al Hadi Ulad Mohand, qui relate les épisodes pénibles de la vie d’une personne atteinte de la maladie d’Alzheimer, sera projeté, à partir du 21 décembre, dans plusieurs salles de cinéma du Royaume, dont la plupart se trouve à Casablanca.
À cet égard, le réalisateur du film Al Hadi Ulad Mohand a souligné que son oeuvre cinématographique, mettant en vedette l’actrice maroco-belge Lubna Azabal et la star algérienne Samir Guesmi, est basée sur une histoire vraie qu’il a vécue avec ses parents, à travers laquelle il met en lumière la maladie d’Alzheimer, ses causes ainsi que ses répercussions sur la vie du patient et de sa famille.
Le film, produit par Karim Debbagh et distribué par Asma Graimiche, remonte au milieu des années 1990 dans une petite ville du nord du Maroc, où « Fouad », le seul salarié du bureau de la Poste, a contracté une maladie neurologique qui a bouleversé sa vie et celle de sa famille. Il en résulta une série de situations humaines douloureuses et parfois drôles.
A noter que la première mondiale de ce film a eu lieu dans le cadre du Black Nights Film Festival de Tallinn, en Estonie. Il a été projeté pour la première fois dans le monde arabe au Red Sea International Film Festival et au Festival du film arabe de Malmö en Suède. Il a été aussi présent au Festival international du film d’Amman et au Festival de Goa en Inde.
Le film a participé au total à plus de cinquante festivals internationaux et remporté de nombreux Prix nationaux et internationaux, dont le Prix de la Semaine de la Critique lors de l’édition 2022 du Festival de Carthage, et le Prix de la première oeuvre au Festival national de Tanger 2022.
À cet égard, le réalisateur du film Al Hadi Ulad Mohand a souligné que son oeuvre cinématographique, mettant en vedette l’actrice maroco-belge Lubna Azabal et la star algérienne Samir Guesmi, est basée sur une histoire vraie qu’il a vécue avec ses parents, à travers laquelle il met en lumière la maladie d’Alzheimer, ses causes ainsi que ses répercussions sur la vie du patient et de sa famille.
Le film, produit par Karim Debbagh et distribué par Asma Graimiche, remonte au milieu des années 1990 dans une petite ville du nord du Maroc, où « Fouad », le seul salarié du bureau de la Poste, a contracté une maladie neurologique qui a bouleversé sa vie et celle de sa famille. Il en résulta une série de situations humaines douloureuses et parfois drôles.
A noter que la première mondiale de ce film a eu lieu dans le cadre du Black Nights Film Festival de Tallinn, en Estonie. Il a été projeté pour la première fois dans le monde arabe au Red Sea International Film Festival et au Festival du film arabe de Malmö en Suède. Il a été aussi présent au Festival international du film d’Amman et au Festival de Goa en Inde.
Le film a participé au total à plus de cinquante festivals internationaux et remporté de nombreux Prix nationaux et internationaux, dont le Prix de la Semaine de la Critique lors de l’édition 2022 du Festival de Carthage, et le Prix de la première oeuvre au Festival national de Tanger 2022.