Sous la direction d'Elon Musk, l'entreprise élargit ses horizons mondiaux et dévoile son projet d'implanter une nouvelle filiale au Maroc, dédiée à son service révolutionnaire d'internet par satellite, Starlink. Grâce à un réseau de satellites en orbite basse (LEO), ce projet novateur ambitionne de redéfinir l'accès à Internet dans les régions les plus isolées, là où les infrastructures traditionnelles peinent à atteindre leurs limites.
En ciblant spécifiquement les zones rurales et isolées du Maroc, où les infrastructures traditionnelles de connectivité restent souvent insuffisantes, Starlink promet de combler le fossé numérique en offrant ainsi une connexion haut débit fiable. Cette initiative vise principalement à réduire la fracture numérique et à améliorer l’accès à une connectivité fiable, afin de soutenir des secteurs essentiels tels que l’éducation, la santé et les entreprises.
Elle s’inscrit également dans les objectifs du Royaume de transformation numérique et pourrait ouvrir la voie à de nouvelles opportunités économiques, notamment en créant des emplois dans les domaines techniques et logistiques. Cependant, des interrogations subsistent quant au coût du service, qui demeure plus élevé que les offres traditionnelles.
Néanmoins, le projet souligne l’attractivité du Maroc pour les investissements technologiques internationaux et soutient les efforts du gouvernement en faveur d’un développement équitable et durable dans le domaine des télécommunications.
Il convient toutefois de noter que l’ouverture d’une filiale Starlink dans le pays n’a pas encore été officiellement confirmée. Bien que SpaceX semble avoir entamé des démarches administratives, aucune autorisation formelle n’a été encore accordée par l'ANRT, l'autorité compétente, pour délivrer les licences nécessaires à l'exploitation du service. Par conséquent, Starlink n’est pas encore actif au Maroc. Une autorisation pourrait éventuellement être envisagée en 2025, selon des informations non officielles, mais aucun calendrier précis n’a été confirmé.
En dépit du fait que les perspectives d'un déploiement de Starlink au Maroc soient prometteuses et alignées avec les objectifs de transformation numérique du pays, des étapes importantes restent à franchir le pas avant que le service ne devienne accessible aux utilisateurs marocains.
En ciblant spécifiquement les zones rurales et isolées du Maroc, où les infrastructures traditionnelles de connectivité restent souvent insuffisantes, Starlink promet de combler le fossé numérique en offrant ainsi une connexion haut débit fiable. Cette initiative vise principalement à réduire la fracture numérique et à améliorer l’accès à une connectivité fiable, afin de soutenir des secteurs essentiels tels que l’éducation, la santé et les entreprises.
Elle s’inscrit également dans les objectifs du Royaume de transformation numérique et pourrait ouvrir la voie à de nouvelles opportunités économiques, notamment en créant des emplois dans les domaines techniques et logistiques. Cependant, des interrogations subsistent quant au coût du service, qui demeure plus élevé que les offres traditionnelles.
Néanmoins, le projet souligne l’attractivité du Maroc pour les investissements technologiques internationaux et soutient les efforts du gouvernement en faveur d’un développement équitable et durable dans le domaine des télécommunications.
Il convient toutefois de noter que l’ouverture d’une filiale Starlink dans le pays n’a pas encore été officiellement confirmée. Bien que SpaceX semble avoir entamé des démarches administratives, aucune autorisation formelle n’a été encore accordée par l'ANRT, l'autorité compétente, pour délivrer les licences nécessaires à l'exploitation du service. Par conséquent, Starlink n’est pas encore actif au Maroc. Une autorisation pourrait éventuellement être envisagée en 2025, selon des informations non officielles, mais aucun calendrier précis n’a été confirmé.
En dépit du fait que les perspectives d'un déploiement de Starlink au Maroc soient prometteuses et alignées avec les objectifs de transformation numérique du pays, des étapes importantes restent à franchir le pas avant que le service ne devienne accessible aux utilisateurs marocains.