Tel un coup de couperet, une décision judiciaire vient de basculer l'échiquier politique de la Métropole blanche du Royaume. Et pour cause, le tribunal administratif, dans un arrêt qui fera date, a invalidé les mandats de plusieurs élus municipaux. Cette décision, fruit d'une enquête minutieuse, met en lumière les dysfonctionnements systémiques qui gangrènent depuis trop longtemps la gestion de la plus grande ville du Maroc.
Oulad Azzouz, Oulad Zaydane, Oulad Si Bouyahya : ces noms résonnent aujourd'hui comme autant de naufrages politiques. Leurs présidents, longtemps capitaines des affaires publiques, se retrouvent à la barre d'un tribunal, le gouvernail arraché par la tempête judiciaire. A leurs côtés, d'autres élus de Dar Bouazza et de Settat, emportés par le même ressac de prétendues bavures.
Le ministère de l'Intérieur, dans son rôle de tutelle, a tiré la sonnette d'alarme. Ses rapports d'inspection sont porteurs de messages alarmants sur la dérive du pouvoir local. Le Wali a réagi promptement, jetant l'ancre de la justice dans les eaux troubles de la gestion communale.
Au cœur de cette tourmente, le trésor public semble avoir été pillé comme une épave. Les conflits d'intérêts ont rompu la confiance publique. Le ministère de l'intérieur, gardien vigilant du trésor national, resserre les cordons du contrôle budgétaire, envoyant des missives comme autant de signaux de détresse à des municipalités à la dérive.
Ce n'est pas la première fois que la loi s'abat comme un raz-de-marée sur les plages du pouvoir local. Il n'y a pas si longtemps, le président de Dar Bouazza a vu son mandat englouti par ses propres errements. Aujourd'hui, c'est toute une flottille d'élus qui s'enfonce dans l'abîme de la disgrâce.
Casablanca, la ville blanche, se retrouve tachetée de l'encre noire du jugement. Mais peut-être est-ce le prix à payer pour que demain, sur ses rives, se construise une ville nouvelle, plus transparente, plus honnête. Une ville où les élus sont les véritables gardiens du phare démocratique, éclairant la voie d'une gouvernance enfin nette.
Oulad Azzouz, Oulad Zaydane, Oulad Si Bouyahya : ces noms résonnent aujourd'hui comme autant de naufrages politiques. Leurs présidents, longtemps capitaines des affaires publiques, se retrouvent à la barre d'un tribunal, le gouvernail arraché par la tempête judiciaire. A leurs côtés, d'autres élus de Dar Bouazza et de Settat, emportés par le même ressac de prétendues bavures.
Le ministère de l'Intérieur, dans son rôle de tutelle, a tiré la sonnette d'alarme. Ses rapports d'inspection sont porteurs de messages alarmants sur la dérive du pouvoir local. Le Wali a réagi promptement, jetant l'ancre de la justice dans les eaux troubles de la gestion communale.
Au cœur de cette tourmente, le trésor public semble avoir été pillé comme une épave. Les conflits d'intérêts ont rompu la confiance publique. Le ministère de l'intérieur, gardien vigilant du trésor national, resserre les cordons du contrôle budgétaire, envoyant des missives comme autant de signaux de détresse à des municipalités à la dérive.
Ce n'est pas la première fois que la loi s'abat comme un raz-de-marée sur les plages du pouvoir local. Il n'y a pas si longtemps, le président de Dar Bouazza a vu son mandat englouti par ses propres errements. Aujourd'hui, c'est toute une flottille d'élus qui s'enfonce dans l'abîme de la disgrâce.
Casablanca, la ville blanche, se retrouve tachetée de l'encre noire du jugement. Mais peut-être est-ce le prix à payer pour que demain, sur ses rives, se construise une ville nouvelle, plus transparente, plus honnête. Une ville où les élus sont les véritables gardiens du phare démocratique, éclairant la voie d'une gouvernance enfin nette.