Avec la fermeture maintenue des piscines municipales et aqua-parcs, les Casablancais accourent vers les plages. Ces dernières se voient encore plus peuplées que d’habitude, malgré la situation bien particulière due à la pandémie du nouveau Coronavirus. Entre l’envie de retrouver les activités estivales après 3 mois de confinement, et l’obligation de rester prudent, le paradoxe s’installe.Pendant que bon nombre de personnes passent du bon temps et décident d’ignorer les mesures sanitaires dans les lieux publics, à savoir distanciation sociale et port du masque, d’autres préfèrent échapper à cette foule et se nicher dans les plages privées, quitte à en payer le prix. En effet, pour une journée au soleil, avec transat, parasol et accès à la piscine, il faut prévoir entre 200 et 250 dirhams la journée. Malgré la crise, les prix n’ont pas augmenté.
Bien que cela ne soit pas à la portée de toutes les bourses, les habitués s’y rendent car s’y sentent en sécurité.
Selon le Dr Jamal Bakhat, président de la Société Marocaine des Médecins d’Hygiène et de Salubrité Publique, le Coronavirus ne peut pas se transmettre dans une piscine qui a été correctement traitée. Le chlore tue le virus et empêche une contamination par l’eau. En revanche, il peut se transmettre par des postillons d’où la nécessité de respecter les mesures de distanciation même dans une piscine.
Ce qui est certain, c’est que les mesures sanitaires sont de rigueur. D’après les témoignages, dès l’entrée à l’établissement, la prise de température, le gel hydro alcoolique et le port du masque sont obligatoires. Des masques sont offerts aux clients qui auraient oublié les leur.
Les plages où la baignade est à éviter
En ce qui concerne les plages à éviter, dans les villes de Rabat et Casablanca, le département du ministère de l’Énergie, des Mines et de l’Environnement a présenté, les rapports sur la qualité des eaux de baignade et de sable des plages du royaume.Il ressort de ce document que la majeure partie des plages observées sont propres, puisque le taux de conformité atteint 87,68%. Cependant, les estivants ne devraient pas se rendre sur les plages de Chahdia et Petit Zenata vers Casablanca, ainsi que celles de Rabat et Salé.
Bien que cela ne soit pas à la portée de toutes les bourses, les habitués s’y rendent car s’y sentent en sécurité.
Selon le Dr Jamal Bakhat, président de la Société Marocaine des Médecins d’Hygiène et de Salubrité Publique, le Coronavirus ne peut pas se transmettre dans une piscine qui a été correctement traitée. Le chlore tue le virus et empêche une contamination par l’eau. En revanche, il peut se transmettre par des postillons d’où la nécessité de respecter les mesures de distanciation même dans une piscine.
Ce qui est certain, c’est que les mesures sanitaires sont de rigueur. D’après les témoignages, dès l’entrée à l’établissement, la prise de température, le gel hydro alcoolique et le port du masque sont obligatoires. Des masques sont offerts aux clients qui auraient oublié les leur.
Les plages où la baignade est à éviter
En ce qui concerne les plages à éviter, dans les villes de Rabat et Casablanca, le département du ministère de l’Énergie, des Mines et de l’Environnement a présenté, les rapports sur la qualité des eaux de baignade et de sable des plages du royaume.Il ressort de ce document que la majeure partie des plages observées sont propres, puisque le taux de conformité atteint 87,68%. Cependant, les estivants ne devraient pas se rendre sur les plages de Chahdia et Petit Zenata vers Casablanca, ainsi que celles de Rabat et Salé.
Kenza AZIOUZI