Cet atelier, organisé par la Commission nationale de coordination des mesures de lutte et de prévention contre la traite des êtres humains en partenariat avec le bureau Maroc de l’Office des Nations Unies contre la drogue et le crime et l’Union Européenne, vise à renforcer la coopération internationale sécuritaire et judiciaire entre le Maroc et le Niger ainsi que les mesures d’enquête et d’écoute des victimes, des témoins et des suspects devant la police judicaire et le parquet.
Lors de la séance d’ouverture de cet atelier, qui se poursuit jusqu’au 5 août, le représentant du ministère public, Mohamed Chabib, a indiqué que la particularité du crime lié à la traite des êtres humains le distingue des autres crimes, ce qui interpelle les personnes chargées d’appliquer la loi qui doivent mieux la cerner.
Le ministère public, a-t-il dit, place la lutte contre la traite des êtres humains au centre de ses préoccupations, mettant l’accent sur la loi 14-27 relative à la lutte contre le trafic des êtres humains qui offre un cadre adéquat pour protéger les victimes et sanctionner les auteurs de ce crime odieux.
Pour sa part, le directeur des Affaires pénales et des grâces au ministère de la Justice, Hicham Mellati, également président de la Commission nationale de coordination des mesures de lutte et de prévention contre la traite des êtres humains, a indiqué que cet atelier intervient dans le cadre de la dynamisation de la volonté réelle du Maroc à renforcer la coopération africaine particulièrement dans le domaine de la lutte contre le crime organisé.
Il a dans le même contexte souligné que la simulation conjointe d’enquête et de procès entre le Maroc et la république du Niger dans les affaires de traite de personnes et de trafic illicite de migrants est un exercice qui permet de tester le degré d’assimilation des services chargés d’appliquer la loi dans les deux pays du cadre juridique lié à cette problématique, rappelant que le Maroc a conclu 80 conventions de partenariat particulièrement en matière de lutte contre la traite des êtres humains. Pour le secrétaire général du conseil supérieur du pouvoir judiciaire, Mohamed Amine Benabdellah, le défi majeur auquel les systèmes de la justice pénale font face, réside dans la reconnaissance des victimes qui mènent vers les auteurs de ces crimes.
Il a rappelé que le Maroc enregistre un mouvement important de migrants qui veulent s’installer définitivement dans le Royaume ou aller en Europe, ajoutant qu’à fin septembre 2021, 7398 personnes venant de 48 pays ont demandé l’asile.
Pour sa part, Sara Bezzazi, responsable du service des études à la direction générale de la sureté nationale, a fait savoir que le Maroc accorde une grande importance à la lutte contre la traite des êtres humains. Elle a de même rappelé que le Maroc a ratifié plusieurs conventions internationales portant sur ce sujet.
Pour sa part, le président de la Commission nationale de coordination de lutte contre la traite des personnes et le trafic illicite de migrants au Niger, Moumouni Hamidou, s’est félicité de la signature, lundi à Rabat, d’une déclaration d’entente visant à intensifier la coopération entre son pays et le Maroc en matière de lutte contre la traite des êtres humains à travers l’échange des expériences et des bonnes pratiques et le renforcement des capacités des acteurs dans ce domaine. Il a également mis l’accent sur l’importance du renforcement de la coopération bilatérale et l’échange des expériences entre les deux pays pour lutter contre la traite des êtres humains.
Lors de la séance d’ouverture de cet atelier, qui se poursuit jusqu’au 5 août, le représentant du ministère public, Mohamed Chabib, a indiqué que la particularité du crime lié à la traite des êtres humains le distingue des autres crimes, ce qui interpelle les personnes chargées d’appliquer la loi qui doivent mieux la cerner.
Le ministère public, a-t-il dit, place la lutte contre la traite des êtres humains au centre de ses préoccupations, mettant l’accent sur la loi 14-27 relative à la lutte contre le trafic des êtres humains qui offre un cadre adéquat pour protéger les victimes et sanctionner les auteurs de ce crime odieux.
Pour sa part, le directeur des Affaires pénales et des grâces au ministère de la Justice, Hicham Mellati, également président de la Commission nationale de coordination des mesures de lutte et de prévention contre la traite des êtres humains, a indiqué que cet atelier intervient dans le cadre de la dynamisation de la volonté réelle du Maroc à renforcer la coopération africaine particulièrement dans le domaine de la lutte contre le crime organisé.
Il a dans le même contexte souligné que la simulation conjointe d’enquête et de procès entre le Maroc et la république du Niger dans les affaires de traite de personnes et de trafic illicite de migrants est un exercice qui permet de tester le degré d’assimilation des services chargés d’appliquer la loi dans les deux pays du cadre juridique lié à cette problématique, rappelant que le Maroc a conclu 80 conventions de partenariat particulièrement en matière de lutte contre la traite des êtres humains. Pour le secrétaire général du conseil supérieur du pouvoir judiciaire, Mohamed Amine Benabdellah, le défi majeur auquel les systèmes de la justice pénale font face, réside dans la reconnaissance des victimes qui mènent vers les auteurs de ces crimes.
Il a rappelé que le Maroc enregistre un mouvement important de migrants qui veulent s’installer définitivement dans le Royaume ou aller en Europe, ajoutant qu’à fin septembre 2021, 7398 personnes venant de 48 pays ont demandé l’asile.
Pour sa part, Sara Bezzazi, responsable du service des études à la direction générale de la sureté nationale, a fait savoir que le Maroc accorde une grande importance à la lutte contre la traite des êtres humains. Elle a de même rappelé que le Maroc a ratifié plusieurs conventions internationales portant sur ce sujet.
Pour sa part, le président de la Commission nationale de coordination de lutte contre la traite des personnes et le trafic illicite de migrants au Niger, Moumouni Hamidou, s’est félicité de la signature, lundi à Rabat, d’une déclaration d’entente visant à intensifier la coopération entre son pays et le Maroc en matière de lutte contre la traite des êtres humains à travers l’échange des expériences et des bonnes pratiques et le renforcement des capacités des acteurs dans ce domaine. Il a également mis l’accent sur l’importance du renforcement de la coopération bilatérale et l’échange des expériences entre les deux pays pour lutter contre la traite des êtres humains.