Baptisé « School of Casablanca », ce projet interroge l’héritage de l’École des beaux-arts de Casablanca : sa pédagogie innovante, son esthétique moderniste et ses stratégies pionnières d’exposition dans le Maroc des années 1960.
Elle met en lumière un moment charnière de l’Histoire de l’art marocain qui a eu un impact considérable sur l’ensemble de la région : le début de l’art moderne dans le pays désormais indépendant (1956) et donc la nouvelle conscience civique qui a émergé dans ce contexte, laquelle a eu des conséquences sur les artistes et les intellectuels cherchant à reconsidérer leur fonction sociale et leur visibilité dans la sphère publique.
School of Casablanca revisite, réinterprète les idées et les actions radicales du groupe d’individus (Farid Belkahia, Mohammed Chabâa, Bert Flint, Toni Maraini, et Mohamed Melehi) qui a façonné l’École à son apogée (1964–1969).
Elle met en lumière un moment charnière de l’Histoire de l’art marocain qui a eu un impact considérable sur l’ensemble de la région : le début de l’art moderne dans le pays désormais indépendant (1956) et donc la nouvelle conscience civique qui a émergé dans ce contexte, laquelle a eu des conséquences sur les artistes et les intellectuels cherchant à reconsidérer leur fonction sociale et leur visibilité dans la sphère publique.
School of Casablanca revisite, réinterprète les idées et les actions radicales du groupe d’individus (Farid Belkahia, Mohammed Chabâa, Bert Flint, Toni Maraini, et Mohamed Melehi) qui a façonné l’École à son apogée (1964–1969).