Sur les réseaux sociaux, les posts prêtent à la panique, montrant les dégâts d’une explosion dans la ville de Es-Smara, au cœur du Sahara marocain. Selon certains internautes et même quelques médias, ces explosions seraient le résultat d’une attaque menée par les milices du polisario. Une hypothèse, non confirmée pour le moment, sachant que les séparatistes n’ont pas revendiqué la présumée « attaque », qui a causé la mort d'une personne et a fait trois blessés, dont deux dans un état grave.
Dans une dépêche publiée, dimanche matin, la MAP évoque « quatre déflagrations » qui selon les autorités locales, ont touché les quartiers de la ZAP, Hay Essalam, et le quartier industriel. Les mêmes sources ajoutent que les blessés graves ont reçu les premiers secours avant d’être acheminés vers l’hôpital à Laâyoune.
La 3ème personne ayant contracté des blessures légères a pu regagner son domicile après avoir reçu les premiers soins sur place, ajoute la même source, qui fait état de dégâts matériels au niveau de deux maisons.
Les autorités locales, les services de sécurité, et la protection civile se sont immédiatement rendus sur les lieux des déflagrations, indique-t-on. Les éléments relevant de la MINURSO étaient également sur place pour faire leur constat.
Par ailleurs, le Procureur général du Roi près de la Cour d'appel de Laâyoune a annoncé, dans un communiqué, que la police judiciaire compétente a été chargée de mener une enquête judiciaire pour tirer au clair cette affaire, évoquant des tirs de projectiles.
Il a, dans ce sillage, confié à l’équipe d’enquête la réalisation des expertises techniques et balistiques nécessaires afin d’identifier l'origine et la nature des projectiles ayant causé cette tragédie. La même source souligne que le Procureur général du Roi près la Cour d'appel de Laâyoune veillera à établir les effets juridiques qui s’imposent à la lumière des résultats de l'enquête.
Malgré l'absence d'un communiqué officiel attestant de la véracité de l'origine de ces explosions, ou d'une revendication officielle de la part des milices du Polisario, la thèse de frappes avec des roquettes reste très plausible, compte tenu du fait que les explosions ont été enregistrées dans plusieurs lieux et quartiers différents. Reste maintenant à identifier les circonstances et les auteurs de cette attaque dont la responsabilité incombe directement ou indirectement, selon plusieurs indices, aux séparatistes du Polisario.
Les autorités locales, les services de sécurité, et la protection civile se sont immédiatement rendus sur les lieux des déflagrations, indique-t-on. Les éléments relevant de la MINURSO étaient également sur place pour faire leur constat.
Par ailleurs, le Procureur général du Roi près de la Cour d'appel de Laâyoune a annoncé, dans un communiqué, que la police judiciaire compétente a été chargée de mener une enquête judiciaire pour tirer au clair cette affaire, évoquant des tirs de projectiles.
Il a, dans ce sillage, confié à l’équipe d’enquête la réalisation des expertises techniques et balistiques nécessaires afin d’identifier l'origine et la nature des projectiles ayant causé cette tragédie. La même source souligne que le Procureur général du Roi près la Cour d'appel de Laâyoune veillera à établir les effets juridiques qui s’imposent à la lumière des résultats de l'enquête.
Malgré l'absence d'un communiqué officiel attestant de la véracité de l'origine de ces explosions, ou d'une revendication officielle de la part des milices du Polisario, la thèse de frappes avec des roquettes reste très plausible, compte tenu du fait que les explosions ont été enregistrées dans plusieurs lieux et quartiers différents. Reste maintenant à identifier les circonstances et les auteurs de cette attaque dont la responsabilité incombe directement ou indirectement, selon plusieurs indices, aux séparatistes du Polisario.
