Lors de la séance des questions orales adressées au ministre de la Santé, Khalid Ait Taleb, lundi 26 octobre, le groupe du Parti de l’Istiqlal à la Chambre des Représentants a mis en exergue la détérioration de la situation sanitaire au Maroc et l’augmentation du nombre de contaminations et de décès dus à la Covid, malgré les dépenses consistantes dans le secteur de la Santé couvertes par le Fonds dédié à la gestion de la pandémie. En l’absence de toute clarification de la part du gouvernement, les Istiqlaliens ont soulevé l’absence d’une vision globale capable de faire face à la crise sanitaire et à ses répercussions, comme raison principale de la dégradation de la situation sanitaire.
Le groupe istiqlalien a également souligné la situation déplorable des établissements hospitaliers, leur incapacité d’accueillir les patients atteints par le virus et l’absence des équipements nécessaires à la prise en charge des patients, et ce, malgré les fonds financiers alloués au secteur.
La mauvaise répartition des cadres de la Santé a également figuré parmi les remarques des représentants du Parti de la Balance, qui ont noté que l’absence de gestion rationnelle dans ce sens accule les travailleurs du secteur au bord de l’effondrement.
Ils ont également souligné qu’il est inconcevable que, depuis de nombreuses années, plusieurs hôpitaux régionaux ne disposent pas de médecins en réanimation et anesthésie, et de médecins cardiologues, ajoutant que cette situation n’a pas connu de changement récent, dans un contexte épidémique qui nécessite une concertation des efforts du personnel médical, particulièrement de ces deux spécialités, essentielles dans la lutte contre l’épidémie.
En outre, les Istiqlaliens ont pointé du doigt l’imposition de déductions et de dérogations aux travailleurs du secteur, qui a donné lieu à l’organisation de plusieurs manifestations pendant cette période exceptionnelle, et ce, en raison de l’absence des conditions sécurité dans les établissements sanitaires et d’une gestion négative des revendications des professionnels de la Santé, de la part d’un gouvernement qui se soustrait à sa responsabilité.
Le monde rural ne fait pas exception, et le groupe de l’Istiqlal n’a pas manqué d’évoquer la fermeture de plusieurs dispensaires de santé et l’absence du matériel médical élémentaire dans d’autres, en plus de l’absence totale de médecins dans des dispensaires centraux.
Pour conclure, les Istiqlaliens ont évoqué le budget important alloué à l’achat de médicaments. Pour eux, il est paradoxal de continuer à diriger les patients vers les pharmacies pour acquérir des médicaments nécessaires au traitement de la Covid. Des médicaments qui coûtent aux citoyens des sommes importantes dans les conditions économiques et sociales actuelles.
Le groupe istiqlalien a également souligné la situation déplorable des établissements hospitaliers, leur incapacité d’accueillir les patients atteints par le virus et l’absence des équipements nécessaires à la prise en charge des patients, et ce, malgré les fonds financiers alloués au secteur.
La mauvaise répartition des cadres de la Santé a également figuré parmi les remarques des représentants du Parti de la Balance, qui ont noté que l’absence de gestion rationnelle dans ce sens accule les travailleurs du secteur au bord de l’effondrement.
Ils ont également souligné qu’il est inconcevable que, depuis de nombreuses années, plusieurs hôpitaux régionaux ne disposent pas de médecins en réanimation et anesthésie, et de médecins cardiologues, ajoutant que cette situation n’a pas connu de changement récent, dans un contexte épidémique qui nécessite une concertation des efforts du personnel médical, particulièrement de ces deux spécialités, essentielles dans la lutte contre l’épidémie.
En outre, les Istiqlaliens ont pointé du doigt l’imposition de déductions et de dérogations aux travailleurs du secteur, qui a donné lieu à l’organisation de plusieurs manifestations pendant cette période exceptionnelle, et ce, en raison de l’absence des conditions sécurité dans les établissements sanitaires et d’une gestion négative des revendications des professionnels de la Santé, de la part d’un gouvernement qui se soustrait à sa responsabilité.
Le monde rural ne fait pas exception, et le groupe de l’Istiqlal n’a pas manqué d’évoquer la fermeture de plusieurs dispensaires de santé et l’absence du matériel médical élémentaire dans d’autres, en plus de l’absence totale de médecins dans des dispensaires centraux.
Pour conclure, les Istiqlaliens ont évoqué le budget important alloué à l’achat de médicaments. Pour eux, il est paradoxal de continuer à diriger les patients vers les pharmacies pour acquérir des médicaments nécessaires au traitement de la Covid. Des médicaments qui coûtent aux citoyens des sommes importantes dans les conditions économiques et sociales actuelles.
Nabil LAAROUSSI
