Dans des témoignages relayés par le média Gulf News, ces familles ont appelé les autorités des EAU à prendre note de leur situation pour engager un processus de rapatriement au plus vite. Abdelilah Rida, un ressortissant marocain, sa femme, Aleksandra Gorid, une Biélorusse, et leur fils de 19 mois, Rayan, ont voyagé des Émirats arabes unis vers le Maroc le 5 mars dernier. Bien qu'Aleksandra soit retournée à Dubaï le 13 mars, son mari et son fils sont restés au Maroc, précise la même source. Et d’ajouter que les deux ne devaient passer qu’une semaine dans le royaume.
«ça fait maintenant 100 jours que mon fils est séparé de sa mère. Il pleure constamment et ne comprend pas pourquoi il ne peut pas être avec elle», confie Rida, ajoutant que sa femme est également profondément angoissée et déprimée qu’ils vivent séparément». Et de noter qu’il serait au «bord de la faillite».
Même son de cloche du côté de Yassine Elalaoui, son épouse Sanaa et leur fils de trois ans Taha, tous de nationalité marocaine. La famille est depuis mars coincée à Casablanca. «C'est très dur. Nous payons toujours le loyer, les factures de services publics et le prêt bancaire aux EAU. De plus, nous avons également des dépenses au Maroc. J'ai dépensé plus de 20 000 dirhams au cours des trois derniers mois», a déclaré Yassine. Il dit aussi avoir déposé une demande pour bénéficier d’une aide des autorités émiraties pour les citoyens bloqués au Maroc, qui a été cependant refusée.
De son coté, N.B une Maroco-turque, qui dirige un petit salon de beauté à Dubaï (fermé actuellement du fait qu’elle est bloquée au Maroc), n’a plus d’argent pour subvenir à ses besoins. «Mon propriétaire a même encaissé mon chèque pour le loyer de la boutique bien que le centre commercial soit fermé», déclare-t-elle. Résidente aux EAU depuis 10 ans, elle a tenté à plusieurs reprises l'ambassade des EAU au Maroc, néanmoins elle n’a pas pu à résoudre sa situation difficile.
«ça fait maintenant 100 jours que mon fils est séparé de sa mère. Il pleure constamment et ne comprend pas pourquoi il ne peut pas être avec elle», confie Rida, ajoutant que sa femme est également profondément angoissée et déprimée qu’ils vivent séparément». Et de noter qu’il serait au «bord de la faillite».
Même son de cloche du côté de Yassine Elalaoui, son épouse Sanaa et leur fils de trois ans Taha, tous de nationalité marocaine. La famille est depuis mars coincée à Casablanca. «C'est très dur. Nous payons toujours le loyer, les factures de services publics et le prêt bancaire aux EAU. De plus, nous avons également des dépenses au Maroc. J'ai dépensé plus de 20 000 dirhams au cours des trois derniers mois», a déclaré Yassine. Il dit aussi avoir déposé une demande pour bénéficier d’une aide des autorités émiraties pour les citoyens bloqués au Maroc, qui a été cependant refusée.
De son coté, N.B une Maroco-turque, qui dirige un petit salon de beauté à Dubaï (fermé actuellement du fait qu’elle est bloquée au Maroc), n’a plus d’argent pour subvenir à ses besoins. «Mon propriétaire a même encaissé mon chèque pour le loyer de la boutique bien que le centre commercial soit fermé», déclare-t-elle. Résidente aux EAU depuis 10 ans, elle a tenté à plusieurs reprises l'ambassade des EAU au Maroc, néanmoins elle n’a pas pu à résoudre sa situation difficile.