Ce nouveau concours financier et technique de l’AFD à ANP vient consolider les relations de coopération entre ces deux organismes et permettra d’améliorer la compétitivité des ports gérés par l’ANP, d’accroitre leur résilience face aux effets du changement climatique et de renforcer leur intégration urbaine, indiquent les deux institutions dans un communiqué conjoint.
Le communiqué fait observer que le partenariat financier et technique entre l’ANP et l’AFD, déclenché en 2012 par l’octroi par l’AFD à l’ANP d’un prêt de 50 millions d’Euros et une subvention d’assistance technique de 300.000 euros, vient de franchir aujourd’hui une nouvelle étape importante marquée par la mise en place d’un nouveau financement d’un montant de 100 millions d’euros.
Les deux institutions indiquent que la coopération économique entre le Maroc et la France se renforce dans le secteur portuaire par la mise en place d’un nouvel emprunt. Dans ce sens l’ambassadrice de France au Maroc, Hélène Le Gala relevé que «le Maroc et la France sont toutes deux des économies de la mer, et notre coopération dans les domaines portuaires et maritimes en est d’autant plus évidente à la fois pour renforcer notre ancrage commercial mais aussi pour allier nos efforts en vue de promouvoir une économie bleue, performante et soucieuse d’un développement durable».
«Notre vision à travers ce programme intègre la dimension de développement durable en faisant notamment de l’ouverture des ports sur leurs cités un levier de valorisation du foncier portuaire, d’aménagement d’espaces urbains et de création de nouvelles activités génératrices de richesses et d’emplois», a souligné, Nadia Laraki, Directrice générale de l’ANP.
L’enjeu de ce programme porte, également, sur la promotion de ports plus résilients au changement climatique, ajoute le document. Dans ce sens, le Directeur de l’AFD au Maroc, Mihoub Mezouaghi a souligné que «ce nouveau programme visera à élever la résilience des infrastructures portuaires et leur adaptation au changement climatique à travers, notamment le confortement d’ouvrages et la protection des infrastructures portuaires face à la montée du niveau de la mer, la mise en place d’un dispositif de bilan carbone pour améliorer l’efficacité énergétique et de prévention de la pollution marine pour préserver la biodiversité du milieu aquatique».
Le communiqué fait observer que le partenariat financier et technique entre l’ANP et l’AFD, déclenché en 2012 par l’octroi par l’AFD à l’ANP d’un prêt de 50 millions d’Euros et une subvention d’assistance technique de 300.000 euros, vient de franchir aujourd’hui une nouvelle étape importante marquée par la mise en place d’un nouveau financement d’un montant de 100 millions d’euros.
Les deux institutions indiquent que la coopération économique entre le Maroc et la France se renforce dans le secteur portuaire par la mise en place d’un nouvel emprunt. Dans ce sens l’ambassadrice de France au Maroc, Hélène Le Gala relevé que «le Maroc et la France sont toutes deux des économies de la mer, et notre coopération dans les domaines portuaires et maritimes en est d’autant plus évidente à la fois pour renforcer notre ancrage commercial mais aussi pour allier nos efforts en vue de promouvoir une économie bleue, performante et soucieuse d’un développement durable».
«Notre vision à travers ce programme intègre la dimension de développement durable en faisant notamment de l’ouverture des ports sur leurs cités un levier de valorisation du foncier portuaire, d’aménagement d’espaces urbains et de création de nouvelles activités génératrices de richesses et d’emplois», a souligné, Nadia Laraki, Directrice générale de l’ANP.
L’enjeu de ce programme porte, également, sur la promotion de ports plus résilients au changement climatique, ajoute le document. Dans ce sens, le Directeur de l’AFD au Maroc, Mihoub Mezouaghi a souligné que «ce nouveau programme visera à élever la résilience des infrastructures portuaires et leur adaptation au changement climatique à travers, notamment le confortement d’ouvrages et la protection des infrastructures portuaires face à la montée du niveau de la mer, la mise en place d’un dispositif de bilan carbone pour améliorer l’efficacité énergétique et de prévention de la pollution marine pour préserver la biodiversité du milieu aquatique».