Grandissime favori de la finale de Coupe d’Allemagne, le Bayern Munich s’est baladé contre Leverkusen (4- 2) samedi à Berlin, scellant son doublé CoupeChampionnat. De quoi se tourner désormais vers la Ligue des champions en août en rêvant de rééditer le retentissant triplé de 2013.
Une demi-heure pour tuer tout suspense
Un coup franc absolument imparable de David Alaba à l’entrée de la surface de réparation au bout du premier quart d’heure de jeu, puis une frappe croisée parfaite de Serge Gnabry dix minutes plus tard: en l’espace d’une demi-heure, les joueurs de Hansi Flick ont tué tout suspense dans cette finale pour s’assurer la 20e Coupe de leur histoire, après le 30e titre de champion conquis mi-juin.
Et c’est au moment où Leverkusen allait légèrement mieux dans la rencontre, peu avant l’heure de jeu (grosse occasion de Kevin Volland, entré au retour des vestiaires), que Robert Lewandowski, sur une frappe sèche, a aggravé le score. Le Polonais a profité d’une énorme erreur du portier Hradecky pour inscrire son 50e but de la saison, toutes compétitions confondues.
Mais comme en demi-finale contre l’Eintracht Francfort (victoire 2-1), les Munichois ont alors vu leurs adversaires se montrer beaucoup plus entreprenants qu’en première période.
Le rêve de Lewandowski
Les joueurs de Peter Bosz ont d’abord réduit le score par Sven Bender, puis sont passés tout près de se relancer complètement dans la finale, mais Volland et Kai Havertz, la nouvelle pépite du football allemand, étaient trop courts pour reprendre le centre de Moussa Diaby. Insuffisant pour faire trembler les Munichois qui ont parachevé leur succès par un doublé de Lewandowski à la 89e minute, son 51e but cette saison, le meilleur total en Europe.
En 2013, le Bayern possédait dans ses rangs le duo «Robbery» -Arjen Robben et Frank Ribéry- pour tout emporter sur son passage. Dans sa forme actuelle, Lewandowski ne demande qu’une seule chose : leur succéder dans la légende munichoise.
Des victoires à la chaîne
A Berlin samedi, difficile de se souvenir de la victoire de Leverkusen (2-1) obtenue à Munich fin novembre 2019. Une éternité en foot. Depuis, il y a eu le limogeage de Niko Kovac, son remplacement par Flick et la résurrection du grand Bayern.
Et puis des victoires à la chaîne: les coéquipiers de Manuel Neuer n’ont plus perdu depuis le 7 décembre, remportant 25 de leurs 26 derniers matches officiels (une défaite en amical en janvier). L’interruption de deux mois du foot en Allemagne pour cause de crise sanitaire liée au Covid-19 n’a en rien enrayé la mécanique.
Une demi-heure pour tuer tout suspense
Un coup franc absolument imparable de David Alaba à l’entrée de la surface de réparation au bout du premier quart d’heure de jeu, puis une frappe croisée parfaite de Serge Gnabry dix minutes plus tard: en l’espace d’une demi-heure, les joueurs de Hansi Flick ont tué tout suspense dans cette finale pour s’assurer la 20e Coupe de leur histoire, après le 30e titre de champion conquis mi-juin.
Et c’est au moment où Leverkusen allait légèrement mieux dans la rencontre, peu avant l’heure de jeu (grosse occasion de Kevin Volland, entré au retour des vestiaires), que Robert Lewandowski, sur une frappe sèche, a aggravé le score. Le Polonais a profité d’une énorme erreur du portier Hradecky pour inscrire son 50e but de la saison, toutes compétitions confondues.
Mais comme en demi-finale contre l’Eintracht Francfort (victoire 2-1), les Munichois ont alors vu leurs adversaires se montrer beaucoup plus entreprenants qu’en première période.
Le rêve de Lewandowski
Les joueurs de Peter Bosz ont d’abord réduit le score par Sven Bender, puis sont passés tout près de se relancer complètement dans la finale, mais Volland et Kai Havertz, la nouvelle pépite du football allemand, étaient trop courts pour reprendre le centre de Moussa Diaby. Insuffisant pour faire trembler les Munichois qui ont parachevé leur succès par un doublé de Lewandowski à la 89e minute, son 51e but cette saison, le meilleur total en Europe.
En 2013, le Bayern possédait dans ses rangs le duo «Robbery» -Arjen Robben et Frank Ribéry- pour tout emporter sur son passage. Dans sa forme actuelle, Lewandowski ne demande qu’une seule chose : leur succéder dans la légende munichoise.
Des victoires à la chaîne
A Berlin samedi, difficile de se souvenir de la victoire de Leverkusen (2-1) obtenue à Munich fin novembre 2019. Une éternité en foot. Depuis, il y a eu le limogeage de Niko Kovac, son remplacement par Flick et la résurrection du grand Bayern.
Et puis des victoires à la chaîne: les coéquipiers de Manuel Neuer n’ont plus perdu depuis le 7 décembre, remportant 25 de leurs 26 derniers matches officiels (une défaite en amical en janvier). L’interruption de deux mois du foot en Allemagne pour cause de crise sanitaire liée au Covid-19 n’a en rien enrayé la mécanique.