Les joueurs de l’IRT effectuant les tests médicaux
A l’heure du déconfinement au Maroc, la pandémie du Covid-19 vient de « frapper » fort le football de la Botola I et II. En effet, l’IRT et le RAC se retrouvent ensemble dans le collimateur après l’infection épidémique de quatre membres de l’effectif déclarés positifs dans le test Corona. Chez les Tangérois, il y a le chargé du matériel, une personne qui a le plus de contact sur le terrain avec les joueurs, chargée de distribuer les maillots, les serviettes et tous les effets vestimentaires sportifs, chez les Casablancais deux techniciens et un footballeur. Ainsi, Tanger et Casablanca, les capitales de l’épidémie, sont pointées du doigt et la participation de leurs équipes au championnat reste toujours un point d’interrogation.
Un risque de contagion
Contactée à ce sujet, la FRMF n’a eu aucune réaction pour écarter le danger allant même à interdire l’arrêt des entrainements. La peur, le mal, l’angoisse, il y avait un peu de tout dans les deux clubs. Quant aux services médicaux, ils ont manifesté clairement leur inquiétude car personne ne peut « s’amuser » avec ce fléau qui ronge la planète. Que dire de cette polémique qui menace la reprise du championnat vu le nombre de « blessures » qui ne cesse de se multiplier dans le pays ? Autant de questions demeurent sans réponses : le football estil plus important que les vies humaines ? Pourquoi la Fédération s’entête-t-elle à reprendre la compétition devant le refus des citoyens qui pensent que la continuité du football est une aventure susceptible de provoquer des dégâts fort fâcheux.
Les footballeurs plongés dans l’angoisse
Comme il a été relaté sur cette même page, lors d’un dernier article, avec la pandémie, les pauvres footballeurs marocains s’apprêtent à disputer les rencontres de la Botola I et II dans l’angoisse, dans l’inquiétude et obligés, ils ne savent à quel saint se vouer. Maintenant, ce qui était redouté est arrivé. Quoique très réduit le nombre de Covid-19 positif dans deux équipes, il existe un risque de contagion, ce qui va amener les staffs médicaux à multiplier régulièrement les tests.
Si le gouvernement a sacrifié l’économie de tout un pays pour sauver la population qui, grâce à Dieu, n’a pas été très touchée par le mal de la « troisième guerre mondiale », pourquoi il n’en a pas fait de même avec le sport de la balle ronde. L’exemple à suivre est bien là sur la table du président de la FRMF : la Hollande, la Belgique, la France ont renoncé à jouer. L’année blanche aurait été la bonne solution pour le Maroc !
Un risque de contagion
Contactée à ce sujet, la FRMF n’a eu aucune réaction pour écarter le danger allant même à interdire l’arrêt des entrainements. La peur, le mal, l’angoisse, il y avait un peu de tout dans les deux clubs. Quant aux services médicaux, ils ont manifesté clairement leur inquiétude car personne ne peut « s’amuser » avec ce fléau qui ronge la planète. Que dire de cette polémique qui menace la reprise du championnat vu le nombre de « blessures » qui ne cesse de se multiplier dans le pays ? Autant de questions demeurent sans réponses : le football estil plus important que les vies humaines ? Pourquoi la Fédération s’entête-t-elle à reprendre la compétition devant le refus des citoyens qui pensent que la continuité du football est une aventure susceptible de provoquer des dégâts fort fâcheux.
Les footballeurs plongés dans l’angoisse
Comme il a été relaté sur cette même page, lors d’un dernier article, avec la pandémie, les pauvres footballeurs marocains s’apprêtent à disputer les rencontres de la Botola I et II dans l’angoisse, dans l’inquiétude et obligés, ils ne savent à quel saint se vouer. Maintenant, ce qui était redouté est arrivé. Quoique très réduit le nombre de Covid-19 positif dans deux équipes, il existe un risque de contagion, ce qui va amener les staffs médicaux à multiplier régulièrement les tests.
Si le gouvernement a sacrifié l’économie de tout un pays pour sauver la population qui, grâce à Dieu, n’a pas été très touchée par le mal de la « troisième guerre mondiale », pourquoi il n’en a pas fait de même avec le sport de la balle ronde. L’exemple à suivre est bien là sur la table du président de la FRMF : la Hollande, la Belgique, la France ont renoncé à jouer. L’année blanche aurait été la bonne solution pour le Maroc !
Rachid MADANI