La séance plénière hebdomadaires consacrée aux questions orales de lundi 6 juillet au sein du parlement a été dominée par la question des droits de l’homme, à la lumière de la dernière affaire du supposée logiciel espion installé dans le téléphone d’un journaliste, qui a donné lieu à une confrontation entre le gouvernement marocain et l’ONG britannique Amnesty International. Lors de cette séance, le groupe parlementaire istiqlalien de l’unité et de l’égalitarisme s’est distingué par sa position franche et équilibrée, contrastant avec l’unanimisme ambiant autour de cette question.
C’est ainsi que lors d’une intervention très remarquée, le député Istiqlalien Omar Abbassi, a commencé par rappeler la position historique du parti de l’Istiqlal en ce qui concerne la protection des droits de l’homme et des libertés et notamment celles prévues à l’article 24 de la constitution. Il a ensuite exprimé l’alignement inconditionnel et l’engagement du parti en faveur de la sécurité nationale et son rejet total de toute tentative visant à porter atteinte à cette même sécurité, rappelant les tares qui entachent les rapports de certaines instances associatives internationales, notamment en ce qui concerne «leurs sources et la méthodologie de leur élaboration qui posent problème et qui doivent être confrontés et gérés avec sérénité par le ministère d’Etat chargé de la question des droits de l’homme comme le veut l’usage depuis longtemps, en dehors de toute polémique», a affirmé le député istiqlalien.
«Nous estimons que la meilleure riposte et la meilleure réponse à ce genre de rapport est de persévérer dans la voie tracée par le Maroc en matière de promotion des droits de l’homme et leur protection dont on ne peut que se réjouir», a ajouté Monsieur Abbassi, avant de déplorer la manière avec laquelle cette crise a été gérée. Il a souligné à cet égard que le gouvernement a lamentablement manqué de doigté en la matière: «Nous considérons que le gouvernement a failli dans la gestion de cette crise en ne parvenant pas à maintenir un esprit de dialogue et de communication avec les ONG internationales de protection des droits de l’homme», a-t-il déclaré avant de conclure : «Au lieu de s’empresser de rédiger et de publier des communiqués qui appartiennent à une autre époque, nous appelons le gouvernement à faire preuve la sagesse et la patience dans sa manière d’interagir avec les ONG internationales, et surtout de veiller à l’application des recommandations de l’Instance Equité et Réconciliation (IER) en toute transparence, notamment ce qui concerne la gouvernance sécuritaire».
C’est ainsi que lors d’une intervention très remarquée, le député Istiqlalien Omar Abbassi, a commencé par rappeler la position historique du parti de l’Istiqlal en ce qui concerne la protection des droits de l’homme et des libertés et notamment celles prévues à l’article 24 de la constitution. Il a ensuite exprimé l’alignement inconditionnel et l’engagement du parti en faveur de la sécurité nationale et son rejet total de toute tentative visant à porter atteinte à cette même sécurité, rappelant les tares qui entachent les rapports de certaines instances associatives internationales, notamment en ce qui concerne «leurs sources et la méthodologie de leur élaboration qui posent problème et qui doivent être confrontés et gérés avec sérénité par le ministère d’Etat chargé de la question des droits de l’homme comme le veut l’usage depuis longtemps, en dehors de toute polémique», a affirmé le député istiqlalien.
«Nous estimons que la meilleure riposte et la meilleure réponse à ce genre de rapport est de persévérer dans la voie tracée par le Maroc en matière de promotion des droits de l’homme et leur protection dont on ne peut que se réjouir», a ajouté Monsieur Abbassi, avant de déplorer la manière avec laquelle cette crise a été gérée. Il a souligné à cet égard que le gouvernement a lamentablement manqué de doigté en la matière: «Nous considérons que le gouvernement a failli dans la gestion de cette crise en ne parvenant pas à maintenir un esprit de dialogue et de communication avec les ONG internationales de protection des droits de l’homme», a-t-il déclaré avant de conclure : «Au lieu de s’empresser de rédiger et de publier des communiqués qui appartiennent à une autre époque, nous appelons le gouvernement à faire preuve la sagesse et la patience dans sa manière d’interagir avec les ONG internationales, et surtout de veiller à l’application des recommandations de l’Instance Equité et Réconciliation (IER) en toute transparence, notamment ce qui concerne la gouvernance sécuritaire».