Un Centre hospitalier Sud Francilien (CHSF), situé dans la région parisienne, a été victime d’une cyberattaque survenue dans la nuit de samedi à dimanche, ont rapporté les médias français. L’hôpital a déclenché son plan blanc.
D’après les informations de franceinfo qui cite des sources policières, « les pirates ont réussi à bloquer le réseau informatique de l'hôpital et réclament une rançon de 10 millions de dollars ».
Par ailleurs, le parquet de Paris s’est saisi de l’affaire et « l’enquête a été confiée au centre de lutte contre les criminalités numériques (C3N) de la gendarmerie nationale », précise encore la même source.
Dans un communiqué de presse, l’hôpital indique avoir décidé de rediriger les patients vers d'autres hôpitaux de la région et des déprogrammations d'opérations sont envisagées.
"Tous les logiciels métiers de l'hôpital, les systèmes de stockage (notamment d'imagerie médicale) et le système d'information ayant trait aux admissions de la patientèle sont inaccessibles", précise également le communiqué.
Selon les médias français, des experts, mandatés par l'Autorité nationale en matière de sécurité et de défense des systèmes d'information, tentent de reprendre la main sur le système.
D’après les informations de franceinfo qui cite des sources policières, « les pirates ont réussi à bloquer le réseau informatique de l'hôpital et réclament une rançon de 10 millions de dollars ».
Par ailleurs, le parquet de Paris s’est saisi de l’affaire et « l’enquête a été confiée au centre de lutte contre les criminalités numériques (C3N) de la gendarmerie nationale », précise encore la même source.
Dans un communiqué de presse, l’hôpital indique avoir décidé de rediriger les patients vers d'autres hôpitaux de la région et des déprogrammations d'opérations sont envisagées.
"Tous les logiciels métiers de l'hôpital, les systèmes de stockage (notamment d'imagerie médicale) et le système d'information ayant trait aux admissions de la patientèle sont inaccessibles", précise également le communiqué.
Selon les médias français, des experts, mandatés par l'Autorité nationale en matière de sécurité et de défense des systèmes d'information, tentent de reprendre la main sur le système.
