Courir le Tour de France, oui, mais comme leader et pas seulement au "service de l'équipe": Geraint Thomas est revenu mercredi, pour la Gazzetta dello Sport, sur sa "déception" de rater la Grande boucle cette année.
"Cela peut sembler un peu dur, mais je ne voulais pas aller sur le Tour simplement pour courir au service de l'équipe", déclare le cycliste gallois au quotidien sportif italien, en marge du Tirreno-Adriatico.
"J'ai le sentiment d'être à un âge où je dois profiter au maximum de toutes les opportunités. En ce sens, le Giro constitue à coup sûr une meilleure chance pour moi. Je pense encore avoir le niveau pour être leader. Un autre rôle en France ne m'intéressait pas", ajoute le coureur de 34 ans, vainqueur du Tour en 2018 et 2e l'an dernier.
"Ne pas être à 100%" pour le Tour, où son équipe Ineos a misé sur Egan Bernal comme leader unique, "a été une déception", ajoute celui qui estime que le parcours du Giro (3-25 octobre) lui "convient".
Thomas n'avait pu signer mieux qu'une 37e place sur le Dauphiné en août. Mais il assure qu'il se sent "un peu mieux" aujourd'hui et que les "sensations ont été bonnes" lors des entraînements.
Sur Tirreno-Adriatico, une course de huit étapes qui se dispute jusqu'au 14 septembre, il est leader avec comme équipier de luxe Chris Froome, autre recalé du Tour de France. Avec quelles ambitions? "Il est tôt pour le dire. Les deux premières étapes (lundi et mardi) ont servi à trouver le rythme. Celle de mercredi est intéressante", souligne celui qui pourrait disputer le contre-la-montre aux Championnats du monde en fin de mois en Italie.
(Avec AFP)
"Cela peut sembler un peu dur, mais je ne voulais pas aller sur le Tour simplement pour courir au service de l'équipe", déclare le cycliste gallois au quotidien sportif italien, en marge du Tirreno-Adriatico.
"J'ai le sentiment d'être à un âge où je dois profiter au maximum de toutes les opportunités. En ce sens, le Giro constitue à coup sûr une meilleure chance pour moi. Je pense encore avoir le niveau pour être leader. Un autre rôle en France ne m'intéressait pas", ajoute le coureur de 34 ans, vainqueur du Tour en 2018 et 2e l'an dernier.
"Ne pas être à 100%" pour le Tour, où son équipe Ineos a misé sur Egan Bernal comme leader unique, "a été une déception", ajoute celui qui estime que le parcours du Giro (3-25 octobre) lui "convient".
Thomas n'avait pu signer mieux qu'une 37e place sur le Dauphiné en août. Mais il assure qu'il se sent "un peu mieux" aujourd'hui et que les "sensations ont été bonnes" lors des entraînements.
Sur Tirreno-Adriatico, une course de huit étapes qui se dispute jusqu'au 14 septembre, il est leader avec comme équipier de luxe Chris Froome, autre recalé du Tour de France. Avec quelles ambitions? "Il est tôt pour le dire. Les deux premières étapes (lundi et mardi) ont servi à trouver le rythme. Celle de mercredi est intéressante", souligne celui qui pourrait disputer le contre-la-montre aux Championnats du monde en fin de mois en Italie.
(Avec AFP)