Ces contributions, indique, vendredi, un communiqué de la DGAPR, sont réparties entre poèmes du zajal, articles, nouvelles en arabe et en français, ainsi qu'un ensemble de tableaux d'art plastique.
Ce troisième numéro, affirme la DGAPR, constitue une opportunité pour les pensionnaires des établissements pénitentiaires pour mettre en exergue leurs conceptions et préoccupations concernant la pandémie et ses répercussions psychiques, sociales et économiques sous des formes créatives et également exprimer leur solidarité avec les autres catégories de la société face aux défis du coronavirus.
Dédié entièrement aux contributions créatives et littéraires des pensionnaires des établissements pénitentiaires, "Les cahiers du prisonnier" est un magazine périodique publié sous la supervision du Délégué général à l’administration pénitentiaire et à la réinsertion. Sa commission scientifique se compose d'éminents académiciens et juristes, conclut la DGAPR.
Ce troisième numéro, affirme la DGAPR, constitue une opportunité pour les pensionnaires des établissements pénitentiaires pour mettre en exergue leurs conceptions et préoccupations concernant la pandémie et ses répercussions psychiques, sociales et économiques sous des formes créatives et également exprimer leur solidarité avec les autres catégories de la société face aux défis du coronavirus.
Dédié entièrement aux contributions créatives et littéraires des pensionnaires des établissements pénitentiaires, "Les cahiers du prisonnier" est un magazine périodique publié sous la supervision du Délégué général à l’administration pénitentiaire et à la réinsertion. Sa commission scientifique se compose d'éminents académiciens et juristes, conclut la DGAPR.