Le total des superficies programmées pour les cultures de printemps dans la zone d’action de la Direction provinciale de l’agriculture (DPA) de Casablanca s’élève à 1.130 hectares pour la campagne agricole en cours, ressort-il de données obtenues auprès de la DPA de Casablanca.
Selon la DPA de Casablanca, ces 1.130 ha se répartissent sur les provinces de Mediouna (380 ha), Mohammedia (450 ha) et Nouaceur (300 h), dont 1.060 ha réalisés (360 ha à Mediouna), (400 ha à Mohammedia) et (300 ha à Nouaceur). Concernant les cultures maraîchères de printemps, le total des superficies programmées est de 975 ha, ajoute la même source. Sur ces 975 ha dédiés au maraîchage de printemps, 335 ha ont été programmés à Mediouna, 620 ha à Mohammedia et 350 à Nouaceur.
Par ailleurs, 900 ha ont été cultivés (235 ha à Mediouna, 365 ha à Mohammedia et 300 ha à Nouaceur). Les précipitations enregistrées récemment ont redonné espoir aux agriculteurs pour sauver la campagne agricole en cours. L’impact positif de ces pluies commence à se ressentir sur les cultures printanières et les pâturages. Les récentes précipitations ont également réduit le déficit pluviométrique et diminué les frais d’irrigation des cultures maraîchères.
A l’échelle nationale, les superficies dédiées en moyenne aux légumineuses tournent autour de 400.000 hectares. Cependant, pendant une année de sécheresse, ces superficies baissent à moins de 300.000 hectares.
Selon la DPA de Casablanca, ces 1.130 ha se répartissent sur les provinces de Mediouna (380 ha), Mohammedia (450 ha) et Nouaceur (300 h), dont 1.060 ha réalisés (360 ha à Mediouna), (400 ha à Mohammedia) et (300 ha à Nouaceur). Concernant les cultures maraîchères de printemps, le total des superficies programmées est de 975 ha, ajoute la même source. Sur ces 975 ha dédiés au maraîchage de printemps, 335 ha ont été programmés à Mediouna, 620 ha à Mohammedia et 350 à Nouaceur.
Par ailleurs, 900 ha ont été cultivés (235 ha à Mediouna, 365 ha à Mohammedia et 300 ha à Nouaceur). Les précipitations enregistrées récemment ont redonné espoir aux agriculteurs pour sauver la campagne agricole en cours. L’impact positif de ces pluies commence à se ressentir sur les cultures printanières et les pâturages. Les récentes précipitations ont également réduit le déficit pluviométrique et diminué les frais d’irrigation des cultures maraîchères.
A l’échelle nationale, les superficies dédiées en moyenne aux légumineuses tournent autour de 400.000 hectares. Cependant, pendant une année de sécheresse, ces superficies baissent à moins de 300.000 hectares.