En effet, alors qu'aucun vol de rapatriement n'est programmé jusqu'à présent, nos compatriotes se sont trouvés dans un état de désarroi d'autant que l'insécurité gronde dans ce pays plongé dans une situation de désobéissance civile à l'issue du mouvement de contestation du 5 juin.
En outre, ils sont nombreux à être sidérés du fait que le gouvernement marocain n'ait pas pris assez en considération l'état critique du Mali pour prendre une décision immédiate de programmer un vol de rapatriement à leur bénéfice par l'intermédiaire de la RAM.
Ainsi, en craignant pour leur intégrité physique, plus de 160 Marocains ont tenté, par une démarche collective, de rejoindre leur patrie en passant par Sénégal afin d'y prendre un avion à destination de Casablanca, avant de constater la fermeture des frontières entre le Sénégal et le Mali.
Rappelons que l'ambassade du Maroc à Bamako a annoncé, vendredi 5 juin, avoir pris en charge, dès le début de la crise sanitaire liée au coronavirus, tous les citoyens marocains bloqués au Mali, qui se sont signalés auprès de ses services. Néanmoins, un effort supplémentaire doit être fourni par les autorités compétentes, surtout que la situation au Mali est telle qu'un retard pourrait avoir des conséquences irréversibles.
En outre, ils sont nombreux à être sidérés du fait que le gouvernement marocain n'ait pas pris assez en considération l'état critique du Mali pour prendre une décision immédiate de programmer un vol de rapatriement à leur bénéfice par l'intermédiaire de la RAM.
Ainsi, en craignant pour leur intégrité physique, plus de 160 Marocains ont tenté, par une démarche collective, de rejoindre leur patrie en passant par Sénégal afin d'y prendre un avion à destination de Casablanca, avant de constater la fermeture des frontières entre le Sénégal et le Mali.
Rappelons que l'ambassade du Maroc à Bamako a annoncé, vendredi 5 juin, avoir pris en charge, dès le début de la crise sanitaire liée au coronavirus, tous les citoyens marocains bloqués au Mali, qui se sont signalés auprès de ses services. Néanmoins, un effort supplémentaire doit être fourni par les autorités compétentes, surtout que la situation au Mali est telle qu'un retard pourrait avoir des conséquences irréversibles.