Dans un communiqué relayé par l’agence espagnole EFE, Hafiz Zia Ahmad Takel, porte-parole du ministère afghan des Affaires étrangères, a indiqué que ces détenus avaient été libérés au cours des trois derniers mois, suite à des efforts diplomatiques.
« Grâce à l’engagement de la grande ambassade de l’Émirat islamique d’Afghanistan (nom officiel du gouvernement taliban) au Caire, 17 Afghans ont pu être extraits des prisons dans plusieurs pays », a précisé Takel.
Les prisonniers libérés ont déjà regagné leur pays d’origine, l’Afghanistan, à bord de vols opérés par Ariana Afghan Airlines, la principale compagnie aérienne publique du pays.
Le ministère afghan des Affaires étrangères a précisé que ce processus de rapatriement s’était effectué en collaboration avec les autorités marocaines, égyptiennes, libyennes, soudanaises et mauritaniennes.
Il a réaffirmé son « engagement constant à protéger les citoyens afghans à l’étranger » et a souligné que ces efforts se poursuivront.
« L’ambassade continue de travailler activement pour assurer la sécurité de ses ressortissants et défendre leurs droits », a ajouté Takel.
Cependant, ni les autorités de Kaboul ni celles de l’ambassade afghane au Caire n’ont détaillé les raisons de l’incarcération des 17 rapatriés dans ces pays d’Afrique du Nord.
« Grâce à l’engagement de la grande ambassade de l’Émirat islamique d’Afghanistan (nom officiel du gouvernement taliban) au Caire, 17 Afghans ont pu être extraits des prisons dans plusieurs pays », a précisé Takel.
Les prisonniers libérés ont déjà regagné leur pays d’origine, l’Afghanistan, à bord de vols opérés par Ariana Afghan Airlines, la principale compagnie aérienne publique du pays.
Le ministère afghan des Affaires étrangères a précisé que ce processus de rapatriement s’était effectué en collaboration avec les autorités marocaines, égyptiennes, libyennes, soudanaises et mauritaniennes.
Il a réaffirmé son « engagement constant à protéger les citoyens afghans à l’étranger » et a souligné que ces efforts se poursuivront.
« L’ambassade continue de travailler activement pour assurer la sécurité de ses ressortissants et défendre leurs droits », a ajouté Takel.
Cependant, ni les autorités de Kaboul ni celles de l’ambassade afghane au Caire n’ont détaillé les raisons de l’incarcération des 17 rapatriés dans ces pays d’Afrique du Nord.