Après les tensions autour du droit de grève, le dialogue social reprend entre le gouvernement et les partenaires sociaux, avec un mois d’avril qui s’annonce décisif. Mardi, syndicats représentatifs et Patronat ont exposé leurs exigences au Chef du gouvernement, Aziz Akhannouch.
Au moment où les centrales syndicales haussent le ton avec de nouvelles revendications salariales, la CGEM concentre ses efforts sur une réforme du Code du Travail qu’elle souhaite rendre plus flexible, au risque de raviver les tensions syndicales. Mais la véritable pomme de discorde reste la réforme des retraites, que le gouvernement ne peut plus éluder.
Si des concessions s’annoncent inévitables, les syndicats refusent catégoriquement que les salariés en paient seuls le prix. Dans cette équation complexe, un compromis est-il encore possible ? Décryptage.
Au moment où les centrales syndicales haussent le ton avec de nouvelles revendications salariales, la CGEM concentre ses efforts sur une réforme du Code du Travail qu’elle souhaite rendre plus flexible, au risque de raviver les tensions syndicales. Mais la véritable pomme de discorde reste la réforme des retraites, que le gouvernement ne peut plus éluder.
Si des concessions s’annoncent inévitables, les syndicats refusent catégoriquement que les salariés en paient seuls le prix. Dans cette équation complexe, un compromis est-il encore possible ? Décryptage.
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